Coucou les petits éléphants ! Aujourd'hui, le coin voyage en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale... Il s'agit bien sûr du livre La Voleuse de livres de Markus Zusak, un livre qui m'a plutôt bouleversée ! Résumé Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenue. Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s'est arrêtée. Est-ce son destin d'orpheline dans l'Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt ? Ou sa force extraordinaire face aux événements ? À moins que ce ne soit son secret... Celui qui l'a aidée à survivre et a même inspiré à la Mort ce joli surnom : la Voleuse de livres... Mon avis Pour passer vite fait sur la couverture, je trouve qu'elle illustre vraiment bien le thème du livre. La tenue du personnage représenté qui est sans aucun doute Liesel Meminger la représente telle qu'on l'a décrite dans le livre. Quelqu'un m'achète ses chaussures et sa robe ? Comme je l'ai dit dans l'introduction, l'histoire m'a un peu bouleversée. Quand on y repense il ne se passe rien de spécial dedans, ce que je déteste en principe, mais là j'ai été tenue en haleine, l'histoire est vraiment addictive. Ce livre est intéressant du point de vue où on découvre ce que les gens ressentent en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale qui était un des pays ennemis à cette époque ne l'oublions pas, comme pendant les bombardements de leurs ennemis (donc nous les Alliés) ou encore les Jeunesses hitlériennes. Ce que j'ai beaucoup aimé dans l'histoire, c'est que le point de vue choisi par l'auteur est celui de la Mort. Si la Mort est considérée comme quelqu'un de sombre, elle arrive à nous toucher à travers sa description. Et puis la fin de l'histoire, elle est tellement triste ! Tellement que j'ai mis un petit temps avant de m'en remettre. Les personnages sont autant attachants les uns que les autres. Il y a donc Liesel Meminger, le personnage principal auquel on s'attache énormément. Elle est très sensible mais à la fois très courageuse, et ce contraste fait que je l'ai beaucoup aimée. Rudy Steiner est le meilleur ami de Liesel, c'est un personnage qui rajoute de l'humour au livre mais qui est un peu lourd sur les bords par moments. Rosa Hubermann est la mère adoptive de Liesel, et on peu dire qu'elle me ressemble énormément du côté où je râle tout le temps bah quoi ? Il faut bien que quelqu'un le fasse ! et où certains mots sortent tout seuls, comme elle qui dit tout le temps "saukerl" ou encore "saumensch" (je ne sais plus la traduction exacte, mais il me semble que ce sont des insultes "à base" de cochon). Il n'y a pas de mère sans père, je vais donc vous parler un peu de Hans Hubermann, le père adoptif de Liesel et donc le mari de Rosa. Je ne me suis pas spécialement attaché à lui parce que je l'ai trouvé un peu transparent, c'est un personnage important dans l'histoire mais je l'ai trouvé un peu "mou" si on peut le dire comme ça. Comme d'habitude, je vais finir cette chronique par l'écriture. Je l'ai beaucoup aimée, la lecture est très agréable. Comme je l'ai dit pour l'histoire, adopter le point de vue de la Mort est une très bonne idée. Je mets donc un 4.5/5 à ce livre parce que, même si ça se lit tout seul, il est quand même relativement long...
Voilà voilà, j'espère que cette chronique vous aura plu et n'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire si vous avez lu ce livre !
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Mars 2017
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