Coucou les petits éléphants ! Nous nous retrouvons aujourd'hui pour la chronique d'un livre que j'ai découvert encore une fois sur le blog d'Antoine. Ce livre m'a beaucoup intriguée alors je n'ai pas hésité à l'emprunter quand je l'ai vu à la médiathèque, et puis il change de ce que je lis habituellement... Résumé Moi, c'est Simon. Simon Spier. Je vis dans une petite ville en banlieue d'Atlanta (traduisez : un trou paumé). J'ai deux sœurs, un chien, Bieber (oui, oui, comme Justin), et les trois meilleurs amis du monde. Je suis fan de Harry Potter, j'ai une passion profonde pour les Oréos, je fais du théâtre. Et je suis raide dingue de Blue. Blue, c'est un garçon que j'ai rencontré sur le Tumblr du lycée. On se dit tout, sauf notre nom. Je le croise peut-être tous les jours dans le couloir, mais je ne sais pas qui c'est. En fait, ça me plaît bien : je ne suis pas du tout pressé d'annoncer à tout le monde que je suis gay. Personne n'est au courant, à part Blue... et maintenant cette fouine de Martin Addison qui a lu mes e-mails et menace de tout révéler... "Tu ne trouves pas que tout le monde devrait en passer par le coming-out ? Pourquoi l’hétérosexualité serait-elle la norme ? Chacun devrait déclarer son orientation, quelle qu’elle soit, et ça devrait être aussi gênant pour tout le monde, hétéros, gays, bisexuels ou autres. Je dis ça je dis rien." Mon avis Je n'ai pas grand chose à dire sur la couverture. Elle annonce très bien le livre. L'histoire est vraiment géniale. J'ai été plongée dedans directement. Le livre alterne un chapitre "d'action" et un chapitre d'e-mails entre Simon et Blue. J'ai beaucoup aimé l'idée de ne découvrir l'identité de Blue vers la fin, ça nous permet de mener notre petite enquête en même temps que Simon, même si au final ce n'était pas du tout celui que je pensais, j'étais tellement surprise quand on nous a avoué qui se cachait derrière le pseudonyme Blue. Plus on avance dans l'histoire, plus elle devient addictive. L'histoire parle d'un sujet assez peu exploité dans les livres qu'est l'homosexualité. À travers leurs e-mails, Blue et Simon disent qu'il n'y a aucune raison qu'un homosexuel devrait faire un coming-out puisqu'un hétérosexuel n'a pas à le faire, et je suis entièrement d'accord. C'est d'ailleurs un des points pour lequel j'ai beaucoup aimé ce livre, parce qu'il nous montre la difficulté qu'à un homosexuel à faire son coming-out alors qu'un hétérosexuel n'a pas à s'en soucier. Les personnages sont très attachants. On s'attache énormément à Simon et Blue, notamment à travers les chapitres d'e-mails où on apprend à les connaître bien différemment que dans les chapitres "d'action". Et puis Simon est fan d'Harry Potter (c'est aussi à cause de ça que j'ai emprunté ce livre à la médiathèque ^.^). Abby, Nick et Leah, les meilleurs amis de Simon, sont tout autant attachants que lui. J'ai beaucoup aimé l'écriture, surtout l'utilisation de la première personne du singulier. Il fait parti de ces livres dans lesquels on emploie le nom de marques ou de magasins (VIVE LE WAFFLE HOOOUUUUSE), je n'aime pas trop ça ne général, mais une fois de temps en temps ne fait pas de mal. Je mets un 4.5/5 à ce livre qui est un petit coup de cœur. Ce n'est pas du tout le genre de livres que je lis habituellement, mais j'ai beaucoup aimé.
Sur ce, j'espère que vous avez aimé cette chronique et je vous dis à bientôt pour des livres encore plus éléphantesques !
3 Commentaires
Coucou les petits éléphants ! Aujourd'hui, le coin voyage en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale... Il s'agit bien sûr du livre La Voleuse de livres de Markus Zusak, un livre qui m'a plutôt bouleversée ! Résumé Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenue. Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s'est arrêtée. Est-ce son destin d'orpheline dans l'Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt ? Ou sa force extraordinaire face aux événements ? À moins que ce ne soit son secret... Celui qui l'a aidée à survivre et a même inspiré à la Mort ce joli surnom : la Voleuse de livres... Mon avis Pour passer vite fait sur la couverture, je trouve qu'elle illustre vraiment bien le thème du livre. La tenue du personnage représenté qui est sans aucun doute Liesel Meminger la représente telle qu'on l'a décrite dans le livre. Quelqu'un m'achète ses chaussures et sa robe ? Comme je l'ai dit dans l'introduction, l'histoire m'a un peu bouleversée. Quand on y repense il ne se passe rien de spécial dedans, ce que je déteste en principe, mais là j'ai été tenue en haleine, l'histoire est vraiment addictive. Ce livre est intéressant du point de vue où on découvre ce que les gens ressentent en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale qui était un des pays ennemis à cette époque ne l'oublions pas, comme pendant les bombardements de leurs ennemis (donc nous les Alliés) ou encore les Jeunesses hitlériennes. Ce que j'ai beaucoup aimé dans l'histoire, c'est que le point de vue choisi par l'auteur est celui de la Mort. Si la Mort est considérée comme quelqu'un de sombre, elle arrive à nous toucher à travers sa description. Et puis la fin de l'histoire, elle est tellement triste ! Tellement que j'ai mis un petit temps avant de m'en remettre. Les personnages sont autant attachants les uns que les autres. Il y a donc Liesel Meminger, le personnage principal auquel on s'attache énormément. Elle est très sensible mais à la fois très courageuse, et ce contraste fait que je l'ai beaucoup aimée. Rudy Steiner est le meilleur ami de Liesel, c'est un personnage qui rajoute de l'humour au livre mais qui est un peu lourd sur les bords par moments. Rosa Hubermann est la mère adoptive de Liesel, et on peu dire qu'elle me ressemble énormément du côté où je râle tout le temps bah quoi ? Il faut bien que quelqu'un le fasse ! et où certains mots sortent tout seuls, comme elle qui dit tout le temps "saukerl" ou encore "saumensch" (je ne sais plus la traduction exacte, mais il me semble que ce sont des insultes "à base" de cochon). Il n'y a pas de mère sans père, je vais donc vous parler un peu de Hans Hubermann, le père adoptif de Liesel et donc le mari de Rosa. Je ne me suis pas spécialement attaché à lui parce que je l'ai trouvé un peu transparent, c'est un personnage important dans l'histoire mais je l'ai trouvé un peu "mou" si on peut le dire comme ça. Comme d'habitude, je vais finir cette chronique par l'écriture. Je l'ai beaucoup aimée, la lecture est très agréable. Comme je l'ai dit pour l'histoire, adopter le point de vue de la Mort est une très bonne idée. Je mets donc un 4.5/5 à ce livre parce que, même si ça se lit tout seul, il est quand même relativement long...
Voilà voilà, j'espère que cette chronique vous aura plu et n'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire si vous avez lu ce livre ! Bonjour bonjour les éléphanteaux ! Nous nous retrouvons aujourd'hui pour la chronique de mon coup de cœur du mois de mars : Arena 13. Il s'agit du dernier roman de Joseph Delaney, l'auteur de la saga l'Épouvanteur. C'est l'une des raisons pour laquelle j'ai acheté ce livre. L'autre raison, c'est la chronique d'Antoine du blog l'Odyssée livresque qui m'a donnée très envie de le lire. Résumé Les temps sont funestes pour l'humanité, qui a presque disparu de la Terre, vaincue par des machines douées de conscience. Les derniers humains vivent confinés dans le pays de Midgard, entouré par une infranchissable barrière de brouillard. Au-delà, personne ne sait ce que devenu le monde. Dans les arènes de Gindeen, la seule ville du pays, des combats se succèdent toute la journée. Dans l'Arène 13, on mise sur celui qui, le premier, fera couler le sang, on parie sur celui qui trouvera la mort... Un jour, un jeune garçon, Leif, arrive à Gindeen... Son ambition : combattre dans l'Arène 13 et défier Hob qui terrorise les habitants et vole leurs âmes. Il veut prendre sa revanche sur l'infâme créature qui a détruit sa famille, devrait-il y laisser la vie. Mon avis Pour le petit mot sur la couverture du livre, je trouve qu'elle illustre parfaitement l'Arène 13 telle qu'on nous la décrit dans le récit. L'histoire est hyper addictive, j'ai été absorbée par ce livre du début à la fin. Au tout début du livre avant le prologue d'ailleurs, il y a les règles du combat. C'est une chose qui m'a beaucoup plu et qui rajoute une touche d'originalité tout en nous plongeant dans l'histoire. Il y a également un genre de lexique à la fin, c'est plutôt utile parce que Joseph Delaney nous introduit dans un monde où il y a des créatures fantastiques mais ce ne sont pas celles qu'on voit souvent comme des gobelins, des sorcières, etc. Pour en revenir à l'histoire, elle est juste géniale. Comme l'a dit Antoine dans sa chronique, on pourrait penser que ça ressemble à la trilogie Hunger Games au premier regard avec les combats dans une arène, mais c'est totalement différent en réalité. D'ailleurs, rien que la "mise en scène" est très différente pour les deux livres (choix du combattant, le règlement du début qui est en plus dans Arena 13...). Les personnages sont très attachants. Le récit est à la première personne et on suit donc le point de vue de Leif. C'est un personnage auquel je me suis attachée. Il en va de même pour l'ami de Leif Deinon, son maître Tyron et la fille de ce dernier, Kwin (l'un des seuls personnages féminins d'ailleurs). Les personnages sont diversifiés et chaque relation est différente, ce qui rajoute un peu plus de vie à l'histoire qui est déjà palpitante. La plume de Joseph Delaney est juste magique. Ses descriptions sont ni longues ni courtes (une longueur normale quoi), mais il dit vraiment l'essentiel. Comme premier exemple, je vais prendre la description d'un lacre : c'est une créature-robot qui a une semi-conscience qui fait partie du combat. L'auteur l'a tellement bien décrit qu'on peut facilement reconnaître que la créature de la couverture juste au dessus du titre est un lacre. Pour mon deuxième exemple, je vais parler du point de vue à la première personne : Joseph Delaney décrit tellement bien qu'on croirait vraiment voir dans les yeux de Leif. Avec toutes ces qualités, ce livre ne mérite qu'amplement ce 5/5. Comme je l'ai dit en introduction, c'est mon coup de cœur du mois de mars. D'ailleurs ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de coup de cœur comme ça.
Enfin bref, je vous conseille ce livre à 100%, notamment à ceux qui aiment la saga l'Épouvanteur. N'hésitez pas à me donner votre avis sur ce livre en commentaire si vous l'avez lu, et je vous dis à bientôt ! Bérénice Hello ! J'ai enfin réussi à trouver un petit moment pour vous publier la chronique d'Elle s'appelait Sarah de Tatiana de Rosnay. Bonne lecture ! RÉSUMÉ Paris. 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d'Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle s'attache en particulier au destin de Sarah et mène l'enquête jusqu'au bout, au péril de ce qu'elle a de plus cher. Paris. 16 juillet 1942. À l'aube, la police française fait irruption dans un appartement du Marais. Paniqué, le petit Michel se cache dans un placard. Pour le protéger, sa grande sœur l'enferme et emporte la clé, en lui promettant de revenir. Mais elle fait partie des quatre mille enfants raflés ce jour-là. "Michel. MON AVIS Au niveau de la couverture, je trouve que la petite fille qu'on voie représente très bien Sarah par rapport à sa description dans le livre, et c'est juste ce qu'il fallait pour ce genre de livre. L'histoire est très addictive. De plus, les chapitres sont relativement courts, du coup on a toujours envie d'en lire encore un, puis deux, puis trois... Les chapitres alternent les points de vue de Julia Jarmond et de Sarah, ce qui est très bien puisqu'on peut suivre l'histoire de Sarah, en juillet 1942, d'un côté et celle de Julia de l'autre, dans le "monde actuel", qui doit faire des recherches sur la rafle du Vél d'Hiv mais qui doit également faire face à ses problèmes de couple. Le seul bémol, c'est que le point de vue de Sarah s'arrête d'un coup, mais on va dire que cette "erreur" est rattrapée par le fait que Julia nous aide à en apprendre plus sur Sarah à travers ses recherches. Les personnages sont vraiment bien décrits mais surtout très attachants. Comme je viens de le dire, on suit Sarah qui fait partie des enfants raflés le 16 juillet 1942 et Julia Jarmond qui est chargée d'écrire un article sur cette rafle pour le journal "Seine Scene". J'ai beaucoup aimé ces deux personnages. C'est même très intéressant parce qu'on veut absolument connaître le destin de Sarah et de son frère Michel qu'elle a enfermé, mais on veut également savoir ce qu'il va se passer entre Julia et son mari dont je ne dirai rien de plus pour ne pas vous spoiler. L'écriture est très fluide et bien détaillée, mais j'ai quand même trouvé un petit peu de rembourrages par-ci par-là. J'attribue la note de 4.5/5 à ce livre ! C'est un livre vraiment parfait pour les gens comme moi qui accordent beaucoup d'importance à la Shoah et qui veulent aiguiser leurs connaissances sur les faits du 16 et 17 juillet 1942.
Je vous quitte en disant "Souviens-toi. N'oublie jamais." comme Sarah le dit dans ce livre très touchant. Bérénice Bonjour, bonsoir mes éléphanteaux ! Je suis enfin de retour. Si vous n'avez pas vu le post disant le pourquoi je suis de retour, c'est celui se nommant "MISE AU POINT". En tout cas aujourd'hui je vais vous chroniquer l'unique roman étant une sorte de préquelle des BD Maliki. Si vous n'avez pas lu ces BD, déjà vous ratez quelque chose et ensuite c'est difficile de comprendre le livre. RÉSUMÉ Maliki est une jeune collégienne de 13 ans, qui se sent bien différente des autres. Et à juste titre. Avec ses cheveux roses et ses oreilles pointues, elle est aussi plus mature et lucide que ses camarades. Maliki traîne un lourd secret : son corps sert d'abri à une créature surnaturelle qui s'éveille doucement et aimerait bien sortir pour découvrir le monde... Maliki doit apprendre à contrôler cette présence fascinante et inquiétante à la fois, ainsi que les étranges pouvoirs qu'elle lui confère. Enquête aux sources de cette métamorphose, quotidien d'une collégienne et difficulté à trouver sa place quand on décide de ne pas rentrer dans le moule: la vie de Maliki est riche de péripéties et pleine de mystères. MON AVIS J'aime énormément cette couverture, on reconnait très bien le coup de crayon du dessinateur, les couleurs aussi sont très belles. Bien sûr, la couverture fait référence au titre, le reflet de Maliki dans le miroir, où l'on voit l’œil gauche de la créature à la place du sien. J'ai vraiment été sceptique sur ce livre. Je ne pensais pas être autant en extase en lisant ce livre, il m'a même fait pleurer ! Non, c'est surtout que je suis très émotive que ce soit pour les livres ou les films. En fait pour ce livre je savais déjà qui était la créature donc c'était un peu du spoil, mais savoir comment elle est arrivée, c'est très intéressant. Même si on sait déjà à peu près, après avoir lu les BD, là c'est encore mieux de suivre Maliki lors du passage le plus important de sa vie. Je vais maintenant vous parler des personnages. J'ai vraiment beaucoup apprécié Maliki. Je l'aimais déjà en tant qu'adulte dans les BD mais là, savoir qu'elle était tout aussi mature à 13 ans est réconfortant. Maliki est très intelligente et posée mais sa meilleure amie contraste avec la personnalité de Maliki ! (et voici la meilleure transition de l'année). Sa meilleure amie, qui s'appelle Sarah, est très naïve et croit en tout. Ça donne une bouffée d'air frais à l'histoire, même si elle va causer quelques problème avec le pire ennemi de Maliki. (oscar meilleure transition n°2). Le pire ennemi de Maliki s'appelle euh... Eh.. Ah oui ! Benoit. Je le déteste tellement que j'en oublie son prénom ! Haha. Donc, ce "merveilleux" personnage (ironie quand tu nous tues...) est caractérisé par l'intello de la classe, le prince charmant aux yeux des filles un peu stupides, le garçon qui se croit supérieur aux autres etc. La personne que nous avons tous dans nos écoles en fait et que nous détestons tout autant, bien évidemment. pas de transition cette fois ci on passe directement aux autres personnages. Il y a Ranji, un indien présent dans sa classe. On le soupçonne tout le long d'être au courant de ce qui traumatise Maliki, on ne sait comment ni depuis combien de temps. Il est très gentil. Il y a également Rafael, le garçon qu'aime Maliki mais ne veut pas se l'avouer ! Je ne vous dirais rien de plus sur lui pour vous laisser la surprise. Et enfin le docteur Pilven. C'est le personnage le plus important on va dire, car c'est celui qui comprend le plus Maliki, l'aide etc. Il est très mystérieux mais inspire la confiance, c'est ce que j'aime chez lui même si lorsque l'on lit les BD c'est tout autre chose. En tout cas, j'aime beaucoup l'écriture de cet auteur, on la reconnait très bien. On y retrouve l'humour de Maliki, il décrit très bien les sentiments. J'ai donc décidé de lui mettre 5/5 car j'ai vraiment adoré ce livre, c'était un réel coup de cœur.
Et voilà ! J'ai enfin fini ma chronique, qui a mis du temps à arriver, je le conçois. En tout cas j'essaierai d'être plus ponctuelle mais avec les fêtes de noël qui arrivent ça va être pire. Bonne semaine à toutes et à tous ! Ines Coucou les éléphants choupinous ! En ce vendredi soir, nous nous retrouvons (après un cours de maths trèèèès ennuyant) pour la chronique du deuxième tome de Chroniques du Monde Émergé. RÉSUMÉ Convaincu que le Monde Émergé ne peut plus résister seul aux armées du Tyran, Sennar le magicien supplie le Conseil des Mages de le laisser partir à la recherche du Monde Submergé. Là, il pourra obtenir de l'aide de ses habitants. Or ce continent a rompu tout contact avec le Monde Émergé depuis plus d'un siècle. Et Sennar ne dispose pour s'y rendre que d'une ancienne carte à demi effacée par le temps... De son côté Nihal, la jeune guerrière aux cheveux bleus, poursuit son apprentissage de chevalier du dragon. Mais le souvenir de Sennar, qu'elle a blessé au visage lors de leur dernière entrevue la hante douloureusement... "Je ne doute pas de ta bonne foi, Nihal. Mais à l'intérieur de toi vit une bête à peine assoupie. Son sommeil est léger, crois-moi. Et quand Dola sera à terre devant toi, cette bête se réveillera et te mangera le cœur." -Ido. MON AVIS Je ne vais pas rester trois heures sur la couverture pour vous dire à quel point elle est magnifique avec Nihal qui est montée sur Oarf, son dragon. L'histoire est juste géniale. Maintenant que je l'ai fini, je me demande pourquoi j'avais eu "la flemme" de lire ce deuxième tome lorsque j'avais lu le premier pour la première fois auparavant. Sérieusement, j'ai juste adoré ce deuxième tome et j'ai vraiment, mais trop trop hâte de pouvoir lire le troisième. Donc pour en revenir à l'histoire, on suit Sennar qui se rend dans le Monde Submergé et Nihal qui poursuit son apprentissage de chevalier du dragon auprès d'Ido. L'histoire est très bien mais j'aurais aimé qu'on en sache quand même un peu plus sur l'apprentissage de Nihal à monter sur Oarf. Je vais profiter de ce deuxième tome pour vous parler un peu plus de Sennar et de Nihal. Je ne peux pas vous dire lequel je préfère des deux, parce que je les aime autant l'un que l'autre. Donc j'aime beaucoup Sennar, le magicien. Je l'aime beaucoup parce que c'est quelqu'un de très réfléchi et qui fait des choses vraiment remarquables. Et Nihal, je l'aime beaucoup pour sa manie à toujours n'en faire qu'à sa tête, mais aussi pour sa détermination lorsqu'elle veut faire quelque chose. Je n'ai rien de spécial à dire sur l'écriture à part qu'elle est comme celle du premier tome : elle est juste parfaite. Et j'ai décidé de mettre un 5/5 pour ce deuxième tome qui a été une vraie lecture coup de cœur du mois de novembre.
Sur ce, je vous souhaite un bon week-end ! Bérénice Salut mes petits éléphants ! Aujourd'hui je vais vous chroniquer le tome 1 d'une de mes sagas favorites : l'Épouvanteur. RÉSUMÉ Thomas Ward, le septième fils d'un septième fils, devient l'apprenti de l'Épouvanteur du comté. Son maître est très exigeant. Thomas doit apprendre à tenir les spectres à distance, à entraver kes gobelins, à empêcher les sorcières de nuire... Cependant, il libère involontairement Mère Malkin, la sorcière la plus maléfique qui soit, et l'horreur commence... " L'Epouvanteur a eu de nombreux apprentis, me dit maman. Mais peu ont achevé leur formation. Et ceux qui y sont parvenus sont loin d'être à la hauteur. Ils sont fragiles, veules ou lâches. Ils se font payer fort cher de bien maigres services. Il ne reste que toi, mon fils. Tu es notre dernière chance, notre dernier espoir. Il faut que quelqu'un le fasse. Il faut que quelqu'un se dresse contre les forces obscures. Tu es le seul qui en soit capable. " -Maman MON AVIS Pour commencer, passons brièvement sur la couverture. Je la trouve vraiment très jolie avec l'effet livre en cuir et écritures dorées. Maintenant l'histoire. La situation initiale ne dure qu'un chapitre, et c'est exactement ce qu'il faut. Je préfère nettement les livres qui ont un lancement rapide aux livres qui mettent 3 ans pour que l'histoire commence. Honnêtement, j'ai adoré ce livre du premier au dernier mot. C'est un livre vraiment addictif, tellement que je l'ai lu en deux jours il me semble. Parlons maintenant des personnages principaux. Je vais juste m'arrêter vite fait sur l'Épouvanteur que je trouve trop fade et pas assez détaillé. Je vais donc vous parler un petit peu de chaque personnage. Il y a tout d'abord Thomas, très souvent appelé Tom, que j'apprécie beaucoup mais qui n'est pas mon personnage préféré. Je trouve qu'il manque de caractère pour être un personnage encore meilleur. Ensuite il y a Alice, jeune fille et sorcière du même âge que Thomas. Je l'aime bien, c'est même un de mes personnages préférés. C'est elle qui a libéré Mère Malkin par l'intermédiaire de Tom, mais elle a aussi aidé Thomas à plusieurs reprises, ce qui fait qu'on ne sait pas si elle va rester du bon côté ou si elle va plutôt pencher vers le côté de la sorcellerie. Et enfin, la mère de Tom. Elle est mon personnage préféré mais aussi le plus intriguant de la saga. Je me demande quel lien elle a avec l'Épouvanteur à travers tous ses secrets, et j'espère bien qu'on va le découvrir un jour ! Bref, assez parlé des personnages, passons au point le plus important pour moi qui est l'écriture. J'aime beaucoup comment le livre a été écrit, c'est-à-dire à la manière d'un journal que Thomas écrit à la fin de sa vie je pense, ou bien à la fin de son apprentissage. Et aussi, quelque chose qu'il y a beaucoup dans les livres mais pas dans celui-là : le rembourrage. C'est un des rares livres que j'ai lus qui avait très peu de rembourrages. Depuis que je me suis passionnée de lecture, j'ai remarqué que les dialogues et les passages inutiles gâchent énormément la magie du livre. Apparemment c'est saga qui a pas mal de succès et pour prouver qu'elle le mérite je lui mets un 5/5 ! Pour ceux qui ne connaissaient pas et qui aiment la fantasy comme moi, il est à rajouter dans votre PAL !
Je tiens aussi à rajouter que cette chronique a été écrite dans les débuts du blog et que je la gardais lorsque l'occasion de présenter l'Épouvanteur viendrait, donc maintenant que je l'ai relue je trouve que je l'ai écrite vraiment de manière coincée :a: Bérénice Bonjour à toutes et à tous ! C'est tristement que je commence cette chronique après ce qu'il s'est passé ces deux derniers jours. En tout cas, je vais vous parler du second tome de la saga du Joyau ! RÉSUMÉ Qu'êtes vous prêts a payer pour la liberté ? Le Joyau, haut lieu et cœur de la Cité Solitaire, représente la vanité, la cruauté, la servitude. Après que la Duchesse du Lac l'a surprise avec Ash, le compagnon qu'elle avait loué pour sa nièce, Violet n'a plus le choix : elle doit s'enfuir sous peine d'être exécuter. Accompagnée de sa meilleure amie, Raven, et d’Ash Violet laisse donc derrière elle cette vie d'esclave. Mais personne n'a dit que sortir du Joyau serait une partie de plaisir : les régimentaires les traquent sans pitié à travers les anneaux de la Cité solitaire. Violet, pourtant, va découvrir que ses pouvoirs sont bien plus puissants qu'elle ne l'avait imaginé... "Les mères porteuses ne sont pas des jeunes filles écervelées qu'on achète, qu'on revend, et qu'on traite comme des animaux de compagnie ou des meubles. MON AVISComme on peut le remarquer sur cette couverture, la robe est pliée de telle sorte que cela forme une rose et vu que la robe est blanche cela fait référence au titre. Sinon les couvertures de cette collection sont toujours très belles. Sincèrement, j'ai vraiment adoré ce livre. Bon vous l'avez sûrement remarqué, j'aime beaucoup les dystopies et les romances... *rires* Non plus sérieusement, l'histoire est géniale, tout ce qu'il se passe on ne le voit pas forcément arriver, ce qui est plaisant. En tout cas, c'est mon ressenti. J'ai tout particulièrement aimé le côté naïf de Violet, même si elle reste très mature dans ce tome par rapport au premier. C'est vrai que certain passages sont passés trop vite ou alors la façon dont se déroule les événements n'est pas logique... Bon, par chance cela n'arrive que de très rares fois dans le livre, donc ce n'est pas dérangeant et il n'y a quasiment aucun passage rembourrage. Dans ce livre on découvre mieux Ash et Raven. Ash, est le petit ami de Violet, il est très attachant. Je ne sais pas trop quoi dire sur lui de très important... Bon, passons à Raven ! Raven est en fait la mère porteuse de la comtesse de la Pierre (je crois bien que c'est comtesse à moins que ce ne soit duchesse ?), cette dernière l'a faite souffrir, lui a même triturer le cerveau, ce qui fait que Raven a maintenant une sorte de sixième sens, elle perçoit et entend des choses, par exemple à un moment Garnet, le fils de la Duchesse du Lac, dit que quelque chose ne le dérange pas, et Raven, les yeux dans le vide, dit ce que pense en vérité Garnet. Bon c'est difficile à expliquer comme ça sans le livre avec soi, car c'est une amie qui me l'a prêté, mais Raven est très différente dans ce tome par rapport à celle que l'on connait dans le premier. Garnet, est donc le fils de la Duchesse du Lac et aide à l'évasion de Violet, Ash et Raven. Il devient le meilleur ami de Raven en quelques sorte. Lucien, qui est le camériste de Violet lors de la vente aux enchères, est un peu celui qui a planifié l'évasion. Il est jaloux d'Ash. Bon ! J'ai fini avec les personnages passons à l'écriture. Alors dans ce livre, je ne m'attendais vraiment pas du tout à voir écrit un passage qui disait "Dégage ! Et dégote toi ta propre pute !". Ça m'a vraiment fait bizarre mais on s'y habitue. Il n'y a aucune erreur de traduction ou alors s'il y en a je n'en ai pas vu. J'ai décidé de mettre 4/5 à ce livre car je l'ai vraiment aimé, je n'ai juste pas apprécié les passages qui venaient trop rapidement etc...
Et voilà ! J'ai fini cette chronique, j'espère qu'elle vous aura plu. Je vous laisse, tout comme Bérénice, en vous disant fièrement "Pray for Paris". Ines Bonjour à toutes et à tous ! Ça fait longtemps que je n'ai plus posté de chronique, presque une semaine, je suis sincèrement désolée. Je n'ai pas eu le temps, j'avais trop de choses à faire, entre les cours, les devoirs et les rendez-vous... Mais je reviens en force aujourd'hui avec le début d'une nouvelle saga, Le Joyau d'Amy Ewing ! RÉSUMÉ Vous êtes plus précieuse que vous ne le pensez. Le Joyau, haut lieu et cœur de la cité solitaire, représente la richesse, la beauté, la royauté. Mais pour une jeune fille pauvre comme Violet Lasting, le Joyau est avant tout synonyme de servitude. Et pas n'importe laquelle : Violet a été formée pour devenir Mère-Porteuse. Car dans le Joyau, le vrai luxe est la descendance... Achetée lors de la Vente aux Enchères par la Duchesse du Lac, Violet -le lot 197, son nom officiel- va rapidement découvrir la réalité brutale qui se cache derrière l'étincelante façade du Joyau. S'exercer à la cruauté, à la trahison et aux coups bas est la distraction favorite de la noblesse. Violet doit accepter son sort et tâcher de rester en vie. C'est pourtant dans ce sinistre quotidien qu'elle tombe amoureuse d'un séduisant garçon, loué pour servir de compagnon à la nièce aigrie de la Duchesse. Cette relation interdite vaudra aux jeunes amants d'affronter les plus grands des dangers... "Nous aurons tout. Absolument tout. MON AVIS Comme vous l'avez sûrement remarqué, j'aime tout particulièrement les couvertures de la collection R. Celle-ci est très belle surtout la façon dont la photo est prise. Cette couverture nous attire beaucoup, cela se ressent. Alors l'histoire... Et bien comme j'ai adoré la couverture qui plus est de la collection R qui a aussi fait celle de La Sélection, je me suis dit que cette histoire allait être aussi addictive. Par chance, je ne me suis pas trompée, l'histoire est très originale. Elle se passe sur une île perdue en plein milieu de l'océan, protégée par un mur. Ils l'appellent l'Île Solitaire. Cette île est gouvernée par une monarchie. L'île est divisée en cinq cercles, Le Marais, qui est le plus pauvre des cinq où on y retrouve les mères porteuses, La Ferme, là où il y a les champs, La Fumée, où il y a tout ce qui est usine etc, Le Commerce eh bien tout ce qui est lié au commerce, et enfin Le Joyau, le cercle le plus riche et le plus élevé dans la hiérarchie sociale. Ce n'est sûrement pas très compréhensible, désolée. Violet a 17 ans, elle est donc emmenée à une vente aux enchères qui se passe dans le Joyau pour que les personnes de la haute société misent sur elle. Étant le lot 197, elle est très recherchée car elle a de bons résultats à ce qu'ils appellent les Augures, un pouvoir qui permet de changer les objets de couleur ou faire pousser les plantes. Elle se fait donc acheter par la Duchesse du Lac qui est une des maisons fondatrices de l'Ile Solitaire. Alors pour cette histoire, on suit le point de vue de Violet, qui est raconté à la première personne. Et enfin, l'écriture. Comme le passage dans le Joyau de Violet vient assez rapidement, je ne m'attendais pas à avoir certaines expressions, mais l'auteure écrit très bien, c'est fluide, pas difficile à lire, j'aime beaucoup son écriture. J'ai donc décidé de mettre à ce livre 5/5 car il est génial.
Voilà j'ai fini ! Elle a mis du temps à arriver cette chronique mais ne vous inquiétez pas, je suis de retour ! Ines Hello ! Voici la chronique d'un livre que j'ai particulièrement apprécié. Même si le titre fait beaucoup penser à Koh Lanta, il n'a rien à voir avec ce jeu, vous inquiétez pas *rires* RÉSUMÉ2057. Réal-TV Europa 29 lance un jeu de télé-réalité toujours plus spectaculaire. Les candidats, dix mineurs condamnés à mort, sont enfermés dans le château d'If. Après le vote du public et sous l'œil des caméras, ils seront traqués par des killers en temps réel. L'unique survivant du jeu recouvrera la liberté. De Steeve, Romain, Ketty, Loween... qui survivra ? Steeve arriva au sommet de l'île et s'accroupit un instant à l'abri d'un rocher pour reprendre son souffle. Il restait un peu moins de deux heures à tenir, mais la meute de killers se rapprochait sans cesse et il commençait à s'épuiser. MON AVIS Commençons par la couverture. Honnêtement, si je voyais le livre exposé comme ça je n'irai pas vers lui. Je l'ai lu parce qu'une amie m'en avait parlé, mais sinon je ne l'aurai pas lu. Mais comme dit le proverbe, l'habit ne fait pas le moine. Bref, venons-en aux points les plus importants en commençant par l'histoire. Je ne trouve même pas les mots pour vous dire à quel point je l'ai aimée. L'histoire est tellement prenante ! J'ai lu le livre en seulement trois ou quatre heures tellement il m'avait absorbée. J'ai vraiment aimé du début à la fin, j'avais tellement envie de connaitre le gagnant ! Je ne lis jamais de thriller habituellement, mais là j'avais envie de tester et j'ai très bien fait ! Parlons à présent des personnages. En fait, on ne peut pas vraiment parler des personnages puisqu'ils vont plus ou moins tous mourir, du coup il n'y a pas un ou deux personnages principaux qu'on doit suivre tout le long du livre, et ce qui fait aussi qu'on a pas le temps de s'attacher à un personnage qu'il meurt aussitôt. Mais cela ne m'a pas dérangée pour autant, je pourrai presque dire que j'ai même aimé, ça change des autres livres. Et finissons avec l'écriture, voulez-vous ! J'ai beaucoup aimé la plume de Jean-Luc Luciani, elle était très fluide comme j'aime, ou alors il a utilisé du papier qui glisse bien *sors loin*. Non, sérieusement le livre a été très bien écrit et je n'ai pas vu un seul dialogue ou paragraphe "rembourrage". Et voilà pour ce livre qui obtient une note de 4.5/5 , un vrai coup de cœur !
J'ai décidé lire des livres d'autres genres que le fantastique ou la fantasy. Donc si vous avez des livres bit-lit, romance, policier ou autre genre, mettez vos propositions en commentaire ! Bérénice |
Cette catégorie est entretenue par Bérénice, et plus rarement par Sibylle et Ines.
Nous vous y donnons notre avis sur les livres que nous avons lus.
Mars 2017
Si vous êtes blogueur/blogueuse et que vous voulez un système de notation bien à vous, c'est dans la catégorie Nous contacter. Les conditions y sont écrites.
|