Hola les éléphanteaux ! Aujourd'hui, le livre qui va être chroniqué est d'un genre tout à fait différent de ce que je lis habituellement, et j'avoue que j'ai beaucoup aimé. Tout de suite... la suite ! Résumé Pendant le naufrage du Titanic, deux femmes se lient d'une profonde amitié, au-delà des drames et des secrets... 10 avril 1912 : le majestueux paquebot Titanic quitte le port de Southampton. Destination : New York. À son bord, May Smith, passagère de 3e classe, son mari et leur bébé. Comme beaucoup d'autres, le couple part tenter sa chance en Amérique. Parmi les voyageurs de 1e classe, Celeste Parkes rentre chez elle en Ohio le cœur serré. La jeune femme n'a osé avouer à personne la vérité sur l'homme qu'elle a épousé... Mais le naufrage du Titanic va tout changer. Rescapées, May et Celeste vont se retrouver liées à jamais. Après avoir survécu à l'horreur, comment Celeste réussira-t-elle à prendre son destin en main ? Quant à May, la décision qu'elle a prise en secret cette nuit-là bouleversera sa vie et celle des générations à venir... Mon avis • Je n'aime pas spécialement la couverture. La couverture ci-dessus est une couverture mobile, mais c'est la même chose en dessous mais dans les vraies couleurs (on voit un peu l'image de fond). Néanmoins cette couverture mobile est plutôt agaçante : elle tombe, elle glisse ; c'est pénible quand on lit. • Au début je m'attendais à une histoire se passant sur le Titanic puis pendant le naufrage, mais il n'en est rien. En fait, on ne reste sur le Titanic qu'une quarantaine ou cinquantaine de pages. L'histoire est centrée sur la vie des rescapés, une fois arrivés à New York à bord du Carpathia ou alors retournés en Angleterre. Du coup c'était très intéressant de connaitre la vie post-Titanic, chose que je n'avais jamais vue ou lue auparavant. On suit donc l'amitié épistolaire de May et Celeste, renfermant chacune un lourd secret. J'ai beaucoup aimé l'histoire, qui se déroule de 1912 à 1960. Mais ce que je n'ai pas aimé, c'est qu'il peut y avoir énormément de temps qui saute entre deux passages. Par exemple, on parle d'un évènement dans un chapitre, et le chapitre suivant se passe deux ans après. Ensuite, j'ai trouvé qu'on s'éloignait un peu du sujet dans le dernier tiers du livre. • Les personnages principaux sont tous attachants. May, Celeste, Ella, Roddy... Bon j'avoue Ella est un peu agaçante par moment mais ça reste supportable. J'ai trouvé que Celeste était pas mal absente dans la deuxième moitié/le dernier tiers du livre, elle n'intervient que par moment. Roddy aussi est assez absent, à cause de ses allers-retours entre l'Angleterre et les États-Unis. • L'écriture était fluide et simple à lire, j'ai bien aimé. Je n'ai pas grand chose à dire dessus... Et c'est un 3.5/5 pour ce livre, parce qu'il ne vaut pas un 3/5 mais ne vaut pas non plus un 4/5, c'est la note parfaite pour ce livre !
Et je vous dis à bientôt pour une nouvelle chronique !
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Coucou les petits éléphants ! Aujourd'hui, le coin voyage en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale... Il s'agit bien sûr du livre La Voleuse de livres de Markus Zusak, un livre qui m'a plutôt bouleversée ! Résumé Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenue. Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s'est arrêtée. Est-ce son destin d'orpheline dans l'Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt ? Ou sa force extraordinaire face aux événements ? À moins que ce ne soit son secret... Celui qui l'a aidée à survivre et a même inspiré à la Mort ce joli surnom : la Voleuse de livres... Mon avis Pour passer vite fait sur la couverture, je trouve qu'elle illustre vraiment bien le thème du livre. La tenue du personnage représenté qui est sans aucun doute Liesel Meminger la représente telle qu'on l'a décrite dans le livre. Quelqu'un m'achète ses chaussures et sa robe ? Comme je l'ai dit dans l'introduction, l'histoire m'a un peu bouleversée. Quand on y repense il ne se passe rien de spécial dedans, ce que je déteste en principe, mais là j'ai été tenue en haleine, l'histoire est vraiment addictive. Ce livre est intéressant du point de vue où on découvre ce que les gens ressentent en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale qui était un des pays ennemis à cette époque ne l'oublions pas, comme pendant les bombardements de leurs ennemis (donc nous les Alliés) ou encore les Jeunesses hitlériennes. Ce que j'ai beaucoup aimé dans l'histoire, c'est que le point de vue choisi par l'auteur est celui de la Mort. Si la Mort est considérée comme quelqu'un de sombre, elle arrive à nous toucher à travers sa description. Et puis la fin de l'histoire, elle est tellement triste ! Tellement que j'ai mis un petit temps avant de m'en remettre. Les personnages sont autant attachants les uns que les autres. Il y a donc Liesel Meminger, le personnage principal auquel on s'attache énormément. Elle est très sensible mais à la fois très courageuse, et ce contraste fait que je l'ai beaucoup aimée. Rudy Steiner est le meilleur ami de Liesel, c'est un personnage qui rajoute de l'humour au livre mais qui est un peu lourd sur les bords par moments. Rosa Hubermann est la mère adoptive de Liesel, et on peu dire qu'elle me ressemble énormément du côté où je râle tout le temps bah quoi ? Il faut bien que quelqu'un le fasse ! et où certains mots sortent tout seuls, comme elle qui dit tout le temps "saukerl" ou encore "saumensch" (je ne sais plus la traduction exacte, mais il me semble que ce sont des insultes "à base" de cochon). Il n'y a pas de mère sans père, je vais donc vous parler un peu de Hans Hubermann, le père adoptif de Liesel et donc le mari de Rosa. Je ne me suis pas spécialement attaché à lui parce que je l'ai trouvé un peu transparent, c'est un personnage important dans l'histoire mais je l'ai trouvé un peu "mou" si on peut le dire comme ça. Comme d'habitude, je vais finir cette chronique par l'écriture. Je l'ai beaucoup aimée, la lecture est très agréable. Comme je l'ai dit pour l'histoire, adopter le point de vue de la Mort est une très bonne idée. Je mets donc un 4.5/5 à ce livre parce que, même si ça se lit tout seul, il est quand même relativement long...
Voilà voilà, j'espère que cette chronique vous aura plu et n'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire si vous avez lu ce livre ! Hallo hallo ! Comment ça va bien ? Voilà ma première chronique littéraire, sur Geisha d'Arthur Golden. Résumé Yoroido est un modeste village de pêcheurs dans le Japon des années trente. La petite Chiyo-chan y coule une enfance pauvre mais heureuse aux côtés ses parents et de sa grande sœur, Satsu. Mais un cancer ronge les os de sa mère, sur le point de mourir. Le père est si vieux et déjà si perdu qu'il accepte la proposition de M. Tanaka. Les deux jeunes filles partent alors pour Kyoto, parmi d'autres enfants vendus. Chiyo-chan est si belle avec ses yeux bleus qu'on l'emmène dans une école de geishas. Elle deviendra Sayuri, l'une des geishas ou courtisanes les plus appréciées de la ville, excellant dans l'art du chant, de la danse et de l'amour, maîtrisant parfaitement la science de la toilette et du thé. "Et si j'allais disparaitre, annihilée par tant de beauté ? Il y a quelque chose de douloureux, de pathétique dans la beauté." - Sayuri Mon avis Avant de commencer, je voudrai vous prévenir : si vous ne vous intéressez pas à la culture japonaise au delà des mangas ou que vous avez en dessous de... Disons 11 ans, je pense que ce livre pourrait vous ennuyer. Personnellement, je dois avouer que j'adore la culture japonaise, même si je ne lis pas de mangas. C'est pour cela que je me suis tournée vers ce livre, afin de mieux connaître la culture d'un pays trop souvent oublié dans le programme scolaire, ou caché derrière les mangas et autres animes. Maintenant, pour parler de l'histoire, je l'ai trouvée très intéressante, elle nous tient en haleine jusqu'au bout ! Au début, on pourrait penser à un livre d'aventure, dû aux tentatives d'évasion de Sayuri, puis à un livre romantique... J'ai beaucoup aimé ce mélange de genres. On s'attache facilement à Sayuri, un personnage très intéressant je trouve. Elle est intelligente et belle. J'ai beaucoup aimé ce livre, et ce pour plusieurs raisons : déjà, on en apprend pas mal sur l'histoire du Japon, sur la façon de penser là-bas, sur la vie paysanne puis bourgeoise des années trente Puis le livre est vraiment très bien écrit : l'écriture est fluide, gorgée de belles métaphores, de proverbes... De plus, le livre est très juste ; malgré que ce livre ait été écrit par un américain, on le croirait vraiment sorti des pensées de Sayuri : les mots japonais, la rigueur historique, les tournures de phrases typiquement japonaises, le respect vraiment mis en avant... J'ai cru pendant longtemps que l'auteur avait seulement recueilli et adapté les mémoires d'une vraie Geisha ! Cette couverture est l'image que je me suis fait de Sayuri. On peut donc dire que c'est réussi ! Elle est simple, mais elle nous donne envie d'ouvrir le livre. J'ai donc décidé de mettre un 4/5 à ce livre : je l'ai beaucoup aimé, j'ai apprit beaucoup de choses, mais il y avait parfois certains passages assez ennuyeux, ou des petites parties du scénario que je n'aimais pas vraiment.
Je vous conseille vraiment ce livre si vous aimez apprendre des choses, si vous aimez le Japon ou encore l'histoire. Voilà voilà ! Cette chronique est finie ! N'hésitez pas à me donner vos avis ou vos conseils. Sibylle Hello ! J'ai enfin réussi à trouver un petit moment pour vous publier la chronique d'Elle s'appelait Sarah de Tatiana de Rosnay. Bonne lecture ! RÉSUMÉ Paris. 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d'Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle s'attache en particulier au destin de Sarah et mène l'enquête jusqu'au bout, au péril de ce qu'elle a de plus cher. Paris. 16 juillet 1942. À l'aube, la police française fait irruption dans un appartement du Marais. Paniqué, le petit Michel se cache dans un placard. Pour le protéger, sa grande sœur l'enferme et emporte la clé, en lui promettant de revenir. Mais elle fait partie des quatre mille enfants raflés ce jour-là. "Michel. MON AVIS Au niveau de la couverture, je trouve que la petite fille qu'on voie représente très bien Sarah par rapport à sa description dans le livre, et c'est juste ce qu'il fallait pour ce genre de livre. L'histoire est très addictive. De plus, les chapitres sont relativement courts, du coup on a toujours envie d'en lire encore un, puis deux, puis trois... Les chapitres alternent les points de vue de Julia Jarmond et de Sarah, ce qui est très bien puisqu'on peut suivre l'histoire de Sarah, en juillet 1942, d'un côté et celle de Julia de l'autre, dans le "monde actuel", qui doit faire des recherches sur la rafle du Vél d'Hiv mais qui doit également faire face à ses problèmes de couple. Le seul bémol, c'est que le point de vue de Sarah s'arrête d'un coup, mais on va dire que cette "erreur" est rattrapée par le fait que Julia nous aide à en apprendre plus sur Sarah à travers ses recherches. Les personnages sont vraiment bien décrits mais surtout très attachants. Comme je viens de le dire, on suit Sarah qui fait partie des enfants raflés le 16 juillet 1942 et Julia Jarmond qui est chargée d'écrire un article sur cette rafle pour le journal "Seine Scene". J'ai beaucoup aimé ces deux personnages. C'est même très intéressant parce qu'on veut absolument connaître le destin de Sarah et de son frère Michel qu'elle a enfermé, mais on veut également savoir ce qu'il va se passer entre Julia et son mari dont je ne dirai rien de plus pour ne pas vous spoiler. L'écriture est très fluide et bien détaillée, mais j'ai quand même trouvé un petit peu de rembourrages par-ci par-là. J'attribue la note de 4.5/5 à ce livre ! C'est un livre vraiment parfait pour les gens comme moi qui accordent beaucoup d'importance à la Shoah et qui veulent aiguiser leurs connaissances sur les faits du 16 et 17 juillet 1942.
Je vous quitte en disant "Souviens-toi. N'oublie jamais." comme Sarah le dit dans ce livre très touchant. Bérénice Heyo ! Cette chronique arrive avec beaucoup de retard à cause d'un gros coup de fatigue, ce qui a fait qu'un livre que je devais lire en trois jours je l'ai lu en plus d'une semaine. RÉSUMÉ Été 1914. Dans la ferme de son père, en Angleterre, Albert grandit en compagnie de son cheval Joey. Mais les armées se préparent à s'affronter et le destin de Joey est tracé : il devient cheval de guerre. Il vit bientôt l'horreur des combats auprès des Britanniques, des Français ou du côté des Allemands. Pour lui, il n'y a pas d'ennemis, seulement des hommes. Joey partage leurs souffrances et leurs peurs et sait leur redonner de l'espoir. MON AVIS J'ai eu la couverture tirée du film de Spielberg. Elle est jolie mais je n'aime pas trop le fait qu'on réédite les livres avec l'affiche des films lorsqu'ils sont adaptés au cinéma. J'ai bien aimé l'histoire mais je l'ai quand même trouvée relativement plate. J'ai trouvé qu'il y avait peu d'action. Du coup j'ai pensé que c'était à cause de ma fatigue (ce qui est peut-être en partie vrai), mais après j'ai pensé que si l'histoire serait plus passionnante, j'aurai quand même voulu lire le livre malgré ma fatigue et ce n'était pas le cas. En conclusion, j'ai été déçue de l'histoire, j'avais l'impression qu'il n'y avait aucune action et qu'on ne faisait que regarder à travers les yeux de Joey qui était un intermédiaire entre le lieu d'action et la plume de l'auteur et ne faisait que subir. Passons aux personnages. Je vais vous donner mon avis sur quatre des personnages. On va commencer avec Albert. J'ai été assez déçue qu'on ne le voit qu'au début et à la fin du livre alors que c'est un personnage que j'apprécie à la base. Je vais ensuite vous présenter Topthorn qui est un cheval noir qu'on ne nous détail pas trop dans le film et qui va accompagner Joey une grande partie de l'histoire. Je l'ai bien aimé mais il reste quand même assez vague pour nous lecteurs. Je vais aussi vous parler d'Émilie. C'est une Française qui est chargée de s'occuper de Joey et Topthorn avec son grand-père pendant une partie de l'histoire. C'est dommage qu'on ne la voit pas plus parce qu'elle est très attachante et en même temps mon personnage préféré. Et enfin, le cheval de guerre Joey. C'est lui le narrateur de l'histoire mais ça ne m'a pas dérangée contrairement à La guerre des clans où je n'ai pas pu lire deux chapitres. Joey est un bon personnage mais je ne m'y suis pas forcément attachée, j'ai trouvé que ses émotions n'étaient pas assez bien décrites. Au niveau de l'écriture, il me semble avoir repéré un faux raccord : Joey qui est anglais comprend ce que disent les Anglais, les Français et les Allemands. Soit les chevaux comprennent toutes les langues, soit l'auteur n'est pas logique. En général le livre est plutôt bien écrit mais j'ai quand même trouvé son écriture relativement plate. Je mets donc un 3/5 à ce livre qui a été une petite déception. Je trouve que le film est largement meilleur que le livre.
Bérénice |
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Nous vous y donnons notre avis sur les livres que nous avons lus.
Mars 2017
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