Coucou les éléphanteaux ! Tout d'abord, je tiens à m'excuser pour ma petite absence due au brevet et aux concerts. Mais je vous retrouve pour vous chroniquer le dernier Pixar "Le Monde de Dory" ! Je sors tout juste du cinéma, donc c'est tout frais, rien que pour vous ! N'oublions pas la petite musique ! Bande Annonce Synopsis Dory, le poisson chirurgien bleu amnésique, retrouve ses amis Nemo et Marin. Tous trois se lancent à la recherche du passé de Dory. Pourra-t-elle retrouver ses souvenirs ? Qui sont ses parents ? Et où a-t-elle bien pu apprendre à parler la langue des baleines ? Mon avis En réalité, je ne savais pas du tout de quoi allait parler le film avant d'aller le voir. Je m'attendais à ce qu'on nous donne les explications aux trous de mémoire si caractéristiques de Dory, mais pas du tout : un an après l'aventure de la recherche de Nemo, Dory se souvient brutalement qu'elle avait perdu ses parents quand elle était petite. S'en suit une aventure dans laquelle Dory essaye de retrouver ses parents en essayant de se souvenir de son enfance. Je ne sais pas trop par où commencer pour exprimer mon ressenti sur ce film. D'un côté, il explique beaucoup de choses qu'on retrouve dans Le Monde de Nemo, mais de l'autre côté je m'attendais vraiment à connaître l'origine de la perte de mémoire de Dory, mais elle dit elle-même dès le début du film qu'elle souffre de "troubles de la mémoire immédiate". Au début du film, on nous montre plusieurs scènes de son enfance, moments importants qui vont l'aider à retrouver ses parents. Quand on aime Le Monde de Nemo, c'est vraiment intéressant de découvrir d'où vient Dory. Plus l'aventure avance et plus on apprend à la connaître. Comme le synopsis (qui est un peu court...) le dit, on apprend également comment elle a appris à parler le langage des baleines. Au court de son aventure, elle va rencontrer différents personnages qui vont l'aider d'une manière ou d'une autre dans sa quête, comme le poulpe Hank. Bref, comme je ne sais pas trop quoi dire sur ce film, je vais faire simple : j'ai bien aimé l'histoire et les dessins étaient vraiment beaux et représentaient vraiment bien le monde marin. Les personnages et les voix Dory est jouée par Céline Monsarrat qui a prêté sa voix à de nombreux personnages comme dans Dragon Ball Z. Le film la rend très attachante et nous apprend à la connaître beaucoup mieux que dans Le Monde de Nemo. Marin, le père de Nemo, est joué par Franck Dubosc qu'on peut retrouver dans beaucoup de films comme dans Boule et Bill ou encore dans Astérix aux jeux olympiques. Ce n'est pas un personnage auquel je me suis spécialement attachée, je pense que c'est le côté du "père trop sérieux" qui ne m'a pas plu. Hank est joué par Philippe Lellouche qui a aussi joué dans Clem et dans Camping. C'est un personnage important qui va beaucoup aider Dory à retrouver ses parents. J'ai bien aimé ce personnage qui donne de l'énergie au film grâce à son caractère. Destinée est interprétée par Mathilde Seigner qui a également joué dans Camping et dans La Guerre des boutons. C'est l'amie d'enfance de Dory, qui va également l'aider à retrouver ses parents... ou plutôt à retrouver son chemin ! Nemo est joué par Timothé Vom Dorp. Bien que l'histoire du film n'est pas axée sur lui, ce qui est tout à fait normal, je l'ai trouvé plutôt absent alors que Dory était plus présente dans Le Monde de Némo... J'aurais donc aimé qu'il soit un peu plus présent. Les réalisateurs Andrew Stanton est né le 3 décembre 1965 à Boston, aux États-Unis. Il est connu pour avoir réalisé Le Monde de Némo en 2003 et Wall-E en 2008. Il donne sa propre voix dans le rôle de Crush, la tortue de mer dans Le Monde de Nemo et aussi dans Le Monde de Dory. Il a également prêté sa voix dans Toy Story, Cars et Les Indestructibles. Angus MacLane est le co-rélisateur du Monde de Dory. Il n'a pas fait d'autres longs-métrages, mais il a fait quelques courts et moyens-métrages comme Toy Story : angoisse au motel. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - J'attribue la note de 3.5/5 à ce film, tout simplement parce que ce n'est pas un film d'animation extraordinaire, mais il est quand même sympa et permet de passer un bon moment.
Sur ce, j'espère que cette chronique vous a plu, personnellement je la trouve très brouillon alors je m'en excuse, mais je n'ai pas vraiment d'avis sur ce film, je l'ai bien aimé mais pas d'une façon à ce que je puisse vraiment écrire mon ressenti...
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Coucou les éléphanteaux ! Je vous retrouve pour ma deuxième chronique dans le Cinéma, et cette fois-ci j'ai choisi un film d'animation qui a eu beaucoup de succès : LA REINE DES NEIGES ! Ah, euh non... c'est plutôt VICE-VERSA ! N'oublions pas la petite musique ! Bande Annonce Synopsis Au Quartier Général, le centre de contrôle situé dans la tête de la petite Riley, 11 ans, cinq Émotions sont au travail. À leur tête, Joie, débordante d’optimisme et de bonne humeur, veille à ce que Riley soit heureuse. Peur se charge de la sécurité, Colère s’assure que la justice règne, et Dégoût empêche Riley de se faire empoisonner la vie – au sens propre comme au figuré. Quant à Tristesse, elle n’est pas très sûre de son rôle. Les autres non plus, d’ailleurs… Lorsque la famille de Riley emménage dans une grande ville, avec tout ce que cela peut avoir d’effrayant, les Émotions ont fort à faire pour guider la jeune fille durant cette difficile transition. Mais quand Joie et Tristesse se perdent accidentellement dans les recoins les plus éloignés de l’esprit de Riley, emportant avec elles certains souvenirs essentiels, Peur, Colère et Dégoût sont bien obligés de prendre le relais. Joie et Tristesse vont devoir s’aventurer dans des endroits très inhabituels comme la Mémoire à long terme, le Pays de l’Imagination, la Pensée Abstraite, ou la Production des Rêves, pour tenter de retrouver le chemin du Quartier Général afin que Riley puisse passer ce cap et avancer dans la vie… Mon avis J'ai juste adoré ce film d'animation ! C'est vraiment une version originale de ce qui se passe dans la tête d'un être humain. L'histoire est toute simple, mais le fait de voir ces personnages qui représentent les émotions dans la tête de Riley fait que ce film est magique. Ces émotions sont Joie, Tristesse, Peur, Colère et Dégoût. Chacun prend les commandes de Riley en fonction de ce qu'il se passe, principalement Joie. Il y a quand même quelque chose qui m'angoisse : les émotions de Riley ont toutes un physique différent, mais quand on voit les émotions d'autres personnes, on remarque qu'elles ont adopté le physique de la personne en question, notamment les cheveux et la moustache pour les hommes. J'ai également trouvé ça très original de représenter les souvenirs par des grosses billes de couleurs différentes s'ils inspirent la joie, la tristesse, la colère, le dégoût et la peur, où plus simplement selon le personnage qui est aux commandes à ce moment là. Il y a aussi les différents îles qui constituent la personnalité de Riley qui est une excellente idée. L'esthétique des dessins est vraiment magnifique, ce qui nous permet de nous plonger dans l'histoire. Néanmoins, même si c'est un film d'animation, je ne pense pas qu'un enfant de 4 ans puisse bien saisir l'histoire, notamment lorsqu'on passe du monde réel au monde inconscient, notamment dans la Mémoire à long terme ou encore dans la Pensée Abstraite. Les personnages et les voix Joie est jouée par Charlotte Le Bon que vous pouvez voir dans Yves Saint-Laurent, L'Écume des jours ou encore Astérix et Obélix au service de sa Majesté. C'est un très bon personnage qui anime le film, mais qui est parfois un peu lourde sur les bords. Marilou Berry qui a aussi joué dans Nos jours heureux prête sa voix à Tristesse. Comme son nom l'indique, c'est un personnage triste qui déprime tout le temps et qui n'est pas sûre d'elle. Dans la tête de Riley, elle est plutôt mise à l'écart alors que c'est elle qui dirige dans la tête de la mère de Riley et c'est plutôt intéressant. Colère est joué par Gilles Lellouche qui a également joué dans La French. C'est l'émotion la plus épique et la plus drôle des cinq. C'est un personnage très travaillé, on le voit notamment à la flamme qui se dresse sur sa tête lorsqu'il s'énerve. Mélanie Laurent que vous pouvez retrouver dans Insaisissables ou encore dans La Rafle prête sa voix à Dégoût. C'est un bon personnage tout aussi bien travaillé que les autres, mais elle est plutôt absente dans l'histoire et je trouve ça plutôt dommage parce que je pense que, si on l'avait un peu plus exploitée, le film n'aurait été qu'encore plus meilleur. Peur est animé par Pierre Niney que vous pouvez retrouver dans Yves Saint-Laurent ou dans LOL. C'est exactement le même cas que pour Dégoût : c'est un personnage bien travaillé mais qu'on ne voit pas assez. Les réalisateurs Pete Docter est né le 10 août 1968. Ses plus grands succès sont les films d'animation Là-Haut, suivi de Vice-versa et de Monstres & Cie. Ce sont ses seuls longs-métrages qu'il a réalisés jusqu'aujourd'hui, mais il a également écrit les scénari de Toy Story et de Wall-E. Ronnie del Carmen est né le 31 décembre 1959. Il n'est pas réalisateur mais le co-réalisateur de Vice-versa. C'est d'ailleurs le seul film qu'il a produit jusque là. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Je décide donc de mettre la note de 4/5 à ce film d'animation. C'est un film génial mais certaines émotions sont peu présentes et aussi un film que les plus petits ne peuvent pas forcément comprendre.
Voilà, j'espère que vous avez aimé cette chronique ! Surtout n'hésitez pas à me donner votre avis sur ce film d'animation en commentaire, j'adorerais lire vos petits avis ! Hallo hallo tout le monde ! Aujourd'hui, je vous présente l'un des chef d'oeuvre des studios Ghibli : Le Voyage de Chihiro, un film d'animation fantastique, aux dessins mangas. Voici une des musiques du film. Bande-Annonce Synopsis Chihiro, dix ans, a tout d'une petite fille capricieuse. Elle s'apprête à emménager avec ses parents dans une nouvelle demeure.Sur la route, la petite famille se retrouve face à un immense bâtiment rouge au centre duquel s'ouvre un long tunnel. De l'autre côté du passage se dresse une ville fantôme. Les parents découvrent dans un restaurant désert de nombreux mets succulents et ne tardent pas à se jeter dessus. Ils se retrouvent alors transformés en cochons.Prise de panique, Chihiro s'enfuit et se dématérialise progressivement. L'énigmatique Haku se charge de lui expliquer le fonctionnement de l'univers dans lequel elle vient de pénétrer. Pour sauver ses parents, la fillette va devoir faire face à la terrible sorcière Yubaba, qui arbore les traits d'une harpie diabolique. Mon avis Ce film... Je l'ai juste trouvé magnifique ! L'esthétique est juste superbe, que ce soit au niveau des dessins, des couleurs vives, du design des créatures et des décors... Et comme dans tous les Miyazaki, il y a quelque chose que j'adore... Je ne sais pas si ce sont les couleurs ou les traités des paysages, mais quelque chose me fascine dans ces dessins. Les décors sont juste géniaux, dans un style de palais japonais ancien. Lors d'une exposition, j'ai eu la chance de visiter une reconstitution d'une des pièces. C'était vraiment magique ! Pour les tenues des personnages, je les ai trouvées assez simples. J'aurai un peu plus détaillé ça, mais étant donné que Chihiro n'est pas riche, ses costumes sont épurés. J'ai trouvé le scénario aussi génial que l’esthétique : il nous emporte dans un monde à la fois merveilleux et effrayant, peuplé de créatures à la fois drôles et macabres. Le tout est tourné comme un conte japonais, et j'adore ça. Le lancement avec la découverte du lieu puis la transformation des parents marche très bien, et la résolution aussi, pour moi ! J'ai accroché du début à la fin. La musique est magnifique elle aussi et nous emmène complètement dans cet univers magique ! Les personnages J'ai beaucoup aimé le personnage de Chihiro, qui arrive comme une petite fille, et repart de cette aventure beaucoup plus mature. Elle est très attachante. Haku est très mystérieux. J'ai sans cesse changé d'avis à son sujet... On ne sait pas vraiment si il est là pour aider ou pour dénoncer Chihiro. par contre j'ai pas aimé ses cheveux nononon Il est une sorte de "stalker", qui suit Chihiro. J'ai adoré le design du Sans-Visage. "Ce personnage symbolise le Japon contemporain, oubliant ses valeurs et son identité et plongeant dans la surconsommation et le culte de l’argent, créant ainsi un comportement déviant voire violent.", selon Miyazaki. Yubaba est la "méchante" du film. C'est une sorcière, gérante des bains. Malgré son statut, j'ai éprouvé une certaine sympathie pour elle. Le réalisateur Hayao Miyazaki est né le 5 janvier 1941, au Japon. Son premier succès international est Princesse Mononoké. Il a touché à beaucoup de sujets comme l'humanité, la nature, la technologie... Ses films sont destinés autant aux adultes qu'aux enfants. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - J'ai décidé de mettre 5/5 à ce film, car il est tout simplement parfait. J'ai tout adoré, et je n'ai rien à ajouter là dessus ! J'espère que cette chronique vous aura plu ! BABAYE Sources : Allociné
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Nous vous y donnons notre avis sur les films que nous avons vus.
Novembre 2016
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