Coucou les éléphanteaux ! Comme vous le savez (ou pas), je participe au week-end à 1000 qui se termine ce soir. Je fais donc une petite pause pour vous chroniquer le deuxième tome de Légendes du Monde Émergé qui fait partie des livres que j'ai lus pendant le challenge ! Résumé Dans un Monde Émergé désormais en ruines, la jeune Adhara doit accepter son identité : celle d'une créature non humaine, née pour combattre le Mal... Poussée par l'unique désir de fuir son destin, traquée par ceux qui veulent profiter de ses pouvoirs, Adhara devra finalement faire face à son passé et s'allier à son plus vieil ennemi. Le Monde Émergé pourra-t-il échapper au chaos ? Mon avis La couverture est toujours aussi belle que la première ! Le dessin est vraiment très détaillé, notamment au niveau de la tenue et des guerriers en arrière plan. J'ai trouvé l'histoire de ce deuxième tome plus prenante que celle du premier. Elle se divise en trois parties : la fuite avec Amina, la recherche d'une bibliothèque, la recherche d'un document dans la bibliothèque. Les deux premières parties étaient plutôt "banales", mais j'ai adoré la dernière partie ! La recherche d'un document dans la bibliothèque, ce n'est rien de spécial me diriez vous... Mais c'est une bibliothèque vraiment spéciale, d'où le fait que j'ai adoré cette partie. Mais je ne vous dirai pas le secret de la bibliothèque, sinon ça ferait du spoil... Je pense que j'ai préféré ce tome au premier parce qu'il était plus mouvementé, la vie ne suivait pas son cours comme dans le premier. On en apprend de plus en plus sur Adhara, ce qui fait d'elle un personnage d'autant plus attachant, on découvre ses origines plus profondément.. Elle devient un peu plus sûre d'elle, un peu plus indépendante des autres, elle a appris à prendre ses décisions seule. Amina aussi devient un personnage attachant, on en apprend également plus sur elle. Je n'en ai pas parlé dans la première chronique, mais c'est un personnage qui a pris de l'ampleur dans le deuxième tome. Elle devient plus mûre, moins agaçante. En revanche Amhal est devenu moins présent, malgré ce qu'il est devenu et dont je ne dirai rien pour ne pas spoiler encore une fois. C'est un personnage très important qu'on n'a pas assez vu dans ce tome... L'écriture de Licia Troisi reste toujours aussi fluide. Décidément, elle a vraiment une plume ensorcelante ! Grâce à elle, la lecture reste toujours aussi agréable. J'attribue donc un 3.5/5 à ce deuxième tome. Je n'ai mis qu'un demi point de plus qu'au premier, car il y a une petite amélioration dans l'histoire mais je ne retrouve pas l'addiction que j'avais en lisant Chroniques du Monde Émergé...
Cette chronique maintenant terminée, je retourne à mon challenge !
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Coucou les éléphanteaux ! C'est avec joie que j'ai replongé dans l'univers du Monde Émergé, cette fois-ci avec une des deux trilogies dérivées : Légendes du Monde Émergé. Je crois qu'il fallait lire Guerres du Monde Émergé d'abord, mais je ne pense pas qu'il y ait eu beaucoup de spoil. En revanche, il faut absolument lire Chroniques du Monde Émergé en premier car là il y a du spoil. Résumé Une jeune fille se réveille dans un pays inconnu, sans même se souvenir de son nom. Amhal, apprenti chevalier du Dragon, va l'accompagner dans un long voyage à la recherche de son identité et lui donnera un prénom : Adhara. Alors que la jeune fille retourne dans le passé pour découvrir qui elle est, Amhal doit fuir le sien pour sauver son âme. Car le destin d'Adhara est lié aux forces occultes qui tente d'entraîner à nouveau le Monde Émergé dans l'obscurité - une guerre où la mort ne sera pas semée par l'épée, mais par une terrible peste noire... Mon avis Le dessin de la couverture est magnifique ! Elle nous permet d'avoir une idée du physique d'Adhara, et aussi du fameux poignard à sa ceinture dont on parle souvent dans le livre. Je suis un peu mitigée au niveau de l'histoire. Il ne se passe rien de spécial, elle est relativement plate... Mais elle reste quand même agréable à lire, sans trop s'ennuyer. Comme je ne sais pas trop comment expliquer ça, je ne vais pas dire qu'elle est nulle, je vais plutôt dire qu'elle est plate mais agréable à lire. Même si l'idée d'une jeune fille amnésique est bonne, même si le fait de découvrir Adhara en même temps qu'elle-même (3 fois le mot "même" dans une phrase, bravo Bérénice !) était intéressant, le côté aventure qu'il y avait dans Chroniques du Monde Émergé m'a manqué. Je ne sais vraiment pas comment décrire mon ressenti, c'est comme si, dans l'histoire, la vie continuait et il se passe ci et ça, alors que dans Chroniques du Monde Émergé il se passait pas mal de choses et la vie de Nihal était très mouvementée : l'apprentissage de Nihal au combat, son apprentissage à devenir chevalier du Dragon avec Ido... Adhara est un personnage très attachant, même si parfois elle m'énervait un peu quand elle faisait "celle qui a déjà tout vécu" (par exemple quand elle essaye de dissuader Amhal à faire certaines choses) alors qu'elle est amnésique de base. Amhal est un personnage qui m'a fait ni chaud ni froid, je ne peux pas dire que je m'y suis attachée mais je ne peux pas dire non plus que je le détestais... La plume de Licia Troisi est toujours aussi agréable à lire, c'est peut-être pour ça que je ne me suis pas ennuyée pendant la lecture. Tout comme dans Chroniques du Monde Émergé, j'adore l'écriture de cette auteure. Comme mon avis est plutôt désordonné (tout comme cette chronique), je mets la note de 3/5. Honnêtement je ne sais pas trop à quoi m'attendre pour la suite, je n'ai absolument aucune idée de ce qu'il va se passer.
Sur ce, je vous dis à bientôt pour un nouvel article sur le blog ! Coucou les éléphanteaux ! Je vous retrouve pendant mes vacances en Bretagne pour la chronique d'un livre qui a eu beaucoup de succès. L'eau de la mer étant froide, j'ai adoré le lire en bronzant (peau très claire difficile à bronzer coucou !) sur le sable ! Résumé Une île mystérieuse, un orphelinat en ruines, une étrange collection de photos. Jacob Portman, 16 ans, écoute depuis son enfance les récits fabuleux de son grand-père. Ce dernier, un juif polonais, a passé une partie de sa vie sur une minuscule île du pays de Galles, où ses parents l'avaient envoyé pour le protéger de la menace nazie. Le Jeune Abe Portman y a été recueilli par Miss Peregrine Faucon, la directrice d'un orphelinat pour enfants "particuliers". Selon ses dires, Abe y côtoyait une ribambelle d'enfants doués de capacités surnaturelles, censées les protéger des "Monstres". Un soir, Jacob trouve son grand-père mortellement blessé par une créature qui s'enfuit sous ses yeux. Bouleversé, Jacob part en quête de vérité sur l'île si chère à son grand-père. En découvrant le pensionnat en ruines, il n'a plus aucun doute : les enfants particuliers ont réellement existé. Mais étaient-ils dangereux ? Pourquoi vivaient-ils ainsi reclus, cachés de tous ? Et s'ils étaient toujours en vie, aussi étrange que cela paraisse... Cependant, si je quittais l'île sans m'en assurer , j'étais sûr de le regretter. Mon avis La couverture du livre est plutôt jolie et nous permet déjà de comprendre un petit peu ce que veux dire "enfants particuliers" dans le titre. Elle est également intrigante, ce qui donne envie d'en savoir un peu plus sur ce livre. J'ai l'impression de le dire dans la plupart de mes chroniques, mais l'histoire est géniale ! Le concept d'enfants qui ont des pouvoirs est assez courant, mais ici l'auteur a rendu la chose beaucoup plus originale. Même s'il faut attendre une centaine de pages pour en venir au vif du sujet qu'indique le titre, ces pages ne sont pas ennuyantes. Elles nous permettent de nous expliquer en partie ce que désigne un "enfant particulier" à travers les histoires que racontent le grand-père de Jacob. Une fois dans le vif du sujet, l'histoire est devenue trèèès addictive pour moi. Étant donné que la mer était froide, je ne me suis pas du tout ennuyée sur la plage. On est pris entre une sorte d'enquête sur le grand-père de Jacob et sur ce qui l'a tué et le monde merveilleux que promet le titre, ce qui me rappelle un peu la série Grimm qui mélange des personnages de contes d'une manière revisitée et des enquêtes policières. De plus, le livre est constitué d'une vingtaine de photos. Lorsqu'on parle d'une photo, la page suivante nous montre cette photo. Ça peut être une photo unique comme plusieurs photos en même temps. Ce ne sont que des photos, mais elles rajoutent une énorme pointe d'originalité au livre en plus de son histoire déjà originale. J'ai aimé tous les personnages, notamment Jacob et les enfants particuliers. Ces derniers sont tous sympathiques et attachants à travers le particularité. Jacob, le personnage principal, est un garçon simple. Ce n'est pas un mauvais point, au contraire, ça rajoute un charme au livre : un personnage principal qui ne joue pas les héros et qui ne fait pas de chichis. Miss Peregrine est pas mal comme personnage aussi, mais j'aurais aimé un peu plus de sa présence dans le récit, qu'on en apprenne un peu plus sur elle. Par contre je n'ai pas spécialement aimé le père de Jacob, je l'ai trouvé antipathique. Mais il était peu présent, donc ça n'a pas trop dérangé. Pour finir cette chronique, l'écriture. Elle est simple et très agréable à lire, ne rendant l'histoire que plus addictive. L'auteur a vraiment bien choisi les bons mots pour décrire les choses ; par exemple quand il décrivait un lieu, je le voyais clairement dans ma tête, tout comme le physique des personnages. Ce livre mérite clairement son 4.5/5, il est à lire absolument ! J'ai hâte d'aller voir la réadaptation au cinéma par Tim Burton qui sort le 5 octobre 2016, même si j'ai déjà repéré quelques modifications dans le trailer...
Sur ce, je vous souhaite de bonnes vacances ! Coucou les éléphanteaux ! Je vous retrouve juste avant de partir en vacances pour vous chroniquer la saga de mangas (oui oui, vous avez bien lu) que je lis depuis maintenant 7 ans, la saga Doraemon ! Je vais présenter la saga et donner mon avis sur toute la saga entière, puisque chaque tome est indépendant et qu'il n'y a pas vraiment d'utilité à chroniquer chaque tome après l'autre. Résumé Nobita est un jeune garçon assez irresponsable, complètement gaffeur et maladroit. Il est, de plus, régulièrement grondé par sa mère et ses professeurs à cause des mauvais plans qu'il imagine souvent. Un jour, pourtant, débarque dans sa vie un chat-robot venu du futur. Il se nomme DORAemon, porte toujours une clochette autour du coup et a la particularité d'avoir des mains toutes rondes. DORAemon est en fait envoyé par le futur petit-fils de Nobita. Sa mission sur Terre : sauver Nobita de ses échecs successifs et donc sauver la famille de la déchéance. Il va donc devoir s'atteler à faire évoluer Nobita dans le bon sens et, par là, infléchir le destin. Inutile de préciser que cela ne sera pas de tout repos… Heureusement que DORAemon ne perd jamais sa mine joviale et n'est jamais à court ni de gadgets ni de bonnes idées Mon avis J'adoooore cette saga. Même si j'ai lu tous les tomes qui sont déjà sortis en français, je ne me lasse pas de cette saga. Je la trouve vraiment originale, et elle change des autres mangas du genre Bleach ou encore One Piece. Chaque tome est composé d'une quinzaine de petites histoires, toutes indépendantes les unes des autres, tout comme chaque tome de la saga. Nobita ayant toujours des problèmes, DORAemon sort chaque fois un gadget de sa poche, tous aussi intéressants et amusants, comme une machine pour rétrécir, ou encore une pour créer de la neige à l'intérieur... S'il y a un petit bémol, c'est que beaucoup d'histoires commencent lorsque Nobita va voir DORAemon parce qu'il s'est fait tabasser par Giant, un camarade de classe. À la longue ça devient lassant, même si le moyen de régler cette histoire est différent à chaque fois. Nobita et DORAemon sont deux personnages très attachants, bien que la naïveté de Nobita soit parfois agaçante. DORAemon est le personnage que je préfère entre les deux, c'est un personnage très bien inventé et qui est drôle et sérieux à la fois. Les dessins du manga sont plutôt jolies, des dessins détaillés mais qui restent relativement simples. Et les bulles de textes ne mesurent pas 3 mètres. Comme pour le premier manga que j'ai chroniqué, je ne sais pas trop comment le juger... Mais ce qu'il faut retenir c'est que c'est une saga que j'adore, et je lui mets donc un 4.5/5. Je le conseille aux personnes qui comme moi n'aiment pas spécialement les mangas du genre Bleach et qui cherchent une lecture où on ne se casse pas la tête. J'espère que la chronique vous a quand même plu, même si je ne sais toujours pas juger les mangas ! Sur ce, je vous souhaite de bonnes vacances ! P.S. : j'aurai la wifi à l'endroit où je loge, peut-être que je trouverai le temps de vous poster quelques articles, surtout dans le Musée si je visite quelque chose d'intéressant !
Salut les amis éléphants ! Comment ça va ? Moi je vais bien, je suis toujours vivante *rires*. Non plus sérieusement, je sais que je suis absente beaucoup trop souvent.. Bon j'arrête de parler et on passe à la découverte du second tome du roman Maliki, l'Esprit Empoisonné ! RÉSUMÉLe moral de Maliki est au beau fixe : quelques mois après sa rentrée en 4eme, elle s’est déjà fait plein de nouveaux amis, et surtout, elle a réussi à apprivoiser Lady, son double surnaturel qui sommeillait en elle depuis son enfance. Mais, détenir un incroyable pouvoir ne fait pas tout, encore faut-il s’en servir à bon escient. Lady est invisible et la tentation est grande de l’utiliser chaque jour un peu plus… Une pichenette par-ci pour exceller en sport, une par là pour faire tomber un garçon trop collant… La jeune fille peine à se fixer des limites. Tout bascule lorsque les deux classes de 4ème du collège partent pour une classe de neige. Les agissements de Maliki finissent par attirer l’attention d’Angélique, une jeune fille déterminée et très pieuse, et de Vlad, un garçon passionné de paranormal. La vie de Maliki va de nouveau devenir bien compliquée ! MON AVIS Alors déjà j'ai juste a-do-ré la couverture qui donne une très bonne idée de l'histoire. Ayant adoré le premier tome et les BD (car oui ce livre vient de bandes dessinées) j'ai voulu savoir la suite des aventures de notre chère Maliki, dont j'explique les caractéristiques dans la première chronique. J'ai tout autant aimé savoir comment Maliki gérait Lady (Savage Ladybird), son double surnaturel, étant adolescente. Il y a quelque chose que je n'ai pas aimé au début de ma lecture, c'est le changement de point de vue après chaque chapitre. Heureusement, peu après on comprend 'l’utilité de ces changements. Je ne vais pas m'étendre sur les personnages (c'est sûr ce serait dégueulasse), juste que je vais un peu plus développer le personnage de Sarah. On en apprend beaucoup plus sur elle, Sarah est en fait très intelligente, contrairement à ce que nous fait croire Maliki. Il y a aussi deux autres personnages, Vlad et Angélique. Il sont... Mystérieux. Je ne vais rien dire sur eux, pour garder le suspens. (technique pour faire une chronique plus courte #1) En tout cas, j'ai aimé l'écriture de l'auteur qui est toujours aussi fluide et drôle. J'ai décidé de mettre 5/5 a ce roman, comme pour le tome 1, car je l'ai tout simplement adoré.
En tout cas, j'espère que cette chronique vous aura plu, n'hésitez pas à laisser un commentaire ! A bientôt, Gné bonjoureuh ! Je vais vous parler d'un roman graphique que j'ai lu il y a quelques temps... Il s'agit de "Le Sculpteur" (gnéé je parler france), de Scott McCloud. Résumé David Smith consacre sa vie à l'art – jusqu'à l'extrême. Grâce à un pacte avec le diable, le jeune artiste voit son rêve d'enfance réalisé: pouvoir sculpter tout ce qu'il souhaite, à mains nues. Mais ce pouvoir hors norme ne vient pas sans prix... il ne lui reste que 200 jours à vivre, pendant lesquels décider quoi créer d'inoubliable est loin d'être simple. D'autant que rencontrer l'amour de sa vie le 11ème jour ne vient rien faciliter! Mon avis J'ai trouvé ce livre complètement par hasard, parce que je m'ennuyais au CDI. J'aime bien les pavés, alors je me suis dit "Ah tiens ! Un pavé en noir et bleu ! C'EST PARTIIIII" ... Finalement, je n'ai pas regretté. C'est devenu un de mes livres préférés du CDI. Je vais commencer par parler des dessins. J'ai beaucoup aimé, car le trait est simple, lisible, le tout en noir blanc bleu, qui reflète très bien l'état d'esprit du héros, dépressif. La mise en page était intéressante, car peu conventionnelle. Ensuite, niveau scénario, j'ai trouvé ça intéressant, et je ne me suis pas ennuyée malgré la longueur du livre (près de 500 pages !...) et la fin, qu'on connait déjà en commençant le livre. La base est originale, même si certains éléments sont souvent utilisés. Il faut dire aussi que le personnage est un énorme cliché... Jeune artiste dépressif et fauché, qui ne cherche que la gloire par n’importe quel moyen... Vu, vu partoooout ! Mais bon, ça nous fait quand même assez réfléchir... Et parfois on a envie de frapper le protagoniste, mais bon. On sent que McCloud est influencé par les comics, avec ce côté super héros, blockbuster... Il est peut être prévu que la BD soit adaptée en film, d'ailleurs. Le message... C'est qu'il faut profiter de la vie et aller au bout de nos passions. Si vous avez du temps, je vous le conseille vivement. Et c'est un 4/5 pour cette BD ! Tout était très bien, quelques petits points négatifs, mais pas dérangeants.
J’espère que cette chronique vous a plu ! Coucou les éléphanteaux ! Je vous retrouve entre deux fiches d'histoire des arts (oral coucou) pour une petite chronique livresque ! Résumé Aussi longtemps que Max croit en moi, j'existe. Les gens disent que c'est ça qui fait de moi un ami imaginaire. Ce n'est pas vrai : j'ai mes idées et ma vie en dehors de lui. Mais j'étais là le jour où il a disparu. Je sais qu'il est en danger. Et je suis le seul à pouvoir l'aider. Mon avis Honnêtement, on ne peut pas dire que la couverture est laide. ELLE EST MAGNIFIQUE ! C'est d'ailleurs surtout pour ça que j'ai emprunté ce livre à la médiathèque... L'idée que le sujet traite les amis imaginaires est excellente, j'ai adoré le concept ! Le début est un peu long, on commence par nous expliquer le fonctionnement des amis imaginaires vis-à-vis de leur ami. Ce qui est important, c'est que lorsque l'enfant arrête de croire à son ami imaginaire, celui-ci disparaît petit à petit jusqu'à ne plus exister. Malheureusement, je n'ai pas trop accroché à l'histoire, on va dire que j'étais vraiment plongée dedans lorsque les 70-80% du livre avaient déjà été lus. La disparition de Max, l'ami humain de Budo, annonce un vrai retournement de situation où Budo est le seul à pouvoir le sauver, mais un vrai dilemme s'offre à lui : il peut rester avec Max et être sûr d'exister pendant très longtemps ou faire en sorte que Max puisse rentrer chez lui mais disparaître d'un jour à l'autre. Les personnages sont très attachants, que ce soit Max ou Budo. Max est un petit garçon souffrant d'autisme (on ne nous le dit pas, mais on reconnaît les symptômes), il n'aime pas être dérangé et n'a pas d'ami humain. En vérité, on n'apprend pas tant que ça à le connaître, mais pourtant on s'y attache quand même ! Budo, l'ami imaginaire de Max, à l'air d'être un être (être un être, oui Bérénice) humain d'après les autres amis imaginaires (tous les amis imaginaires peuvent se voir, mais l'humain ne voit que son propre ami imaginaire). Il a le pouvoir de pouvoir (pouvoir de pouvoir, bravo Béré) passer à travers les portes et les fenêtres lorsqu'elles sont parfaitement visibles, parce que Max l'a imaginé comme ça. J'ai beaucoup aimé ce personnage, plus que Max. J'ai beaucoup aimé les amis imaginaires en général, ils ont tous des formes différentes en fonction de comment les amis humains les imagine, certains n'ont pas de sourcils par exemple. La plume de Matthew Dicks est simple, comme j'aime. Mais l'autre jour je me demandais si la traduction influence l'écriture finale et en y réfléchissant je pense que oui donc je ne sais pas trop comment me positionner pour juger l'écriture... Du coup je mets la note de 3.5/5 à ce livre. Le plus gros des points enlevés est dû au fait que je n'ai pas forcément été absorbée par l'histoire comme je peux l'être habituellement.
Voilà voilà, j'espère que cette chronique vous aura plu ! Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à me donner votre avis ! Coucou les petits éléphants ! Nous nous retrouvons aujourd'hui pour la chronique d'un livre que j'ai découvert encore une fois sur le blog d'Antoine. Ce livre m'a beaucoup intriguée alors je n'ai pas hésité à l'emprunter quand je l'ai vu à la médiathèque, et puis il change de ce que je lis habituellement... Résumé Moi, c'est Simon. Simon Spier. Je vis dans une petite ville en banlieue d'Atlanta (traduisez : un trou paumé). J'ai deux sœurs, un chien, Bieber (oui, oui, comme Justin), et les trois meilleurs amis du monde. Je suis fan de Harry Potter, j'ai une passion profonde pour les Oréos, je fais du théâtre. Et je suis raide dingue de Blue. Blue, c'est un garçon que j'ai rencontré sur le Tumblr du lycée. On se dit tout, sauf notre nom. Je le croise peut-être tous les jours dans le couloir, mais je ne sais pas qui c'est. En fait, ça me plaît bien : je ne suis pas du tout pressé d'annoncer à tout le monde que je suis gay. Personne n'est au courant, à part Blue... et maintenant cette fouine de Martin Addison qui a lu mes e-mails et menace de tout révéler... "Tu ne trouves pas que tout le monde devrait en passer par le coming-out ? Pourquoi l’hétérosexualité serait-elle la norme ? Chacun devrait déclarer son orientation, quelle qu’elle soit, et ça devrait être aussi gênant pour tout le monde, hétéros, gays, bisexuels ou autres. Je dis ça je dis rien." Mon avis Je n'ai pas grand chose à dire sur la couverture. Elle annonce très bien le livre. L'histoire est vraiment géniale. J'ai été plongée dedans directement. Le livre alterne un chapitre "d'action" et un chapitre d'e-mails entre Simon et Blue. J'ai beaucoup aimé l'idée de ne découvrir l'identité de Blue vers la fin, ça nous permet de mener notre petite enquête en même temps que Simon, même si au final ce n'était pas du tout celui que je pensais, j'étais tellement surprise quand on nous a avoué qui se cachait derrière le pseudonyme Blue. Plus on avance dans l'histoire, plus elle devient addictive. L'histoire parle d'un sujet assez peu exploité dans les livres qu'est l'homosexualité. À travers leurs e-mails, Blue et Simon disent qu'il n'y a aucune raison qu'un homosexuel devrait faire un coming-out puisqu'un hétérosexuel n'a pas à le faire, et je suis entièrement d'accord. C'est d'ailleurs un des points pour lequel j'ai beaucoup aimé ce livre, parce qu'il nous montre la difficulté qu'à un homosexuel à faire son coming-out alors qu'un hétérosexuel n'a pas à s'en soucier. Les personnages sont très attachants. On s'attache énormément à Simon et Blue, notamment à travers les chapitres d'e-mails où on apprend à les connaître bien différemment que dans les chapitres "d'action". Et puis Simon est fan d'Harry Potter (c'est aussi à cause de ça que j'ai emprunté ce livre à la médiathèque ^.^). Abby, Nick et Leah, les meilleurs amis de Simon, sont tout autant attachants que lui. J'ai beaucoup aimé l'écriture, surtout l'utilisation de la première personne du singulier. Il fait parti de ces livres dans lesquels on emploie le nom de marques ou de magasins (VIVE LE WAFFLE HOOOUUUUSE), je n'aime pas trop ça ne général, mais une fois de temps en temps ne fait pas de mal. Je mets un 4.5/5 à ce livre qui est un petit coup de cœur. Ce n'est pas du tout le genre de livres que je lis habituellement, mais j'ai beaucoup aimé.
Sur ce, j'espère que vous avez aimé cette chronique et je vous dis à bientôt pour des livres encore plus éléphantesques ! Coucou les éléphanteaux apprentis sorciers ! Dernièrement, j'ai eu une soudaine envie de relire les Harry Potter, voici donc la chronique du premier tome ! Je viens juste de découvrir que J.K. Rowling a commencé à écrire cette saga dans un café nommé "The elephant house", C'EST LA COÏNCIDENCE DU SIÈCLEEEEUUUUH c'était l'instant culture ! Résumé Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, la célèbre école de sorcellerie où une place l'attend depuis toujours. Voler sur des balais, jeter des sorts, combattre les Trolls : Harry Potter se révèle un sorcier vraiment doué. Mais quel mystère entoure sa naissance et qui est l'effroyable V..., le mage dont personne n'ose prononcer le nom ? Mon avis Comme d'habitude, commençons par la couverture. Je n'aime pas trop les dessins de ce genre sur les livres, mais j'avoue quand même qu'ils illustrent parfaitement le physique des personnages tels qu'on nous les décrit. J'ai été un peu déçue de ne pas avoir été aussi prise dans l'histoire que je l'étais lorsque j'avais lu ce premier tome pour la première fois. En effet, j'ai trouvé le début lent, l'enquête de Harry, Ron et Hermione trop longue à apparaître et la fin trop rapide. On met une centaine de pages pour vraiment être dans le monde magique, le problème de l'histoire n'arrive que très tard et le déroulement de ce problème ne fait qu'une quinzaine de pages. C'est bizarre parce que je n'ai pas le souvenir que le déroulé de l'histoire m'ait autant marquée ! Les personnages principaux sont attachants dans l'ensemble. Harry m'a un peu énervée par son immaturité par moments, j'avais limite envie de lui dire "HÉ ON EST PAS AU PAYS DES BISOUNOURS ICI HEIN". Mais il reste quand même bon et attachant. J'ai beaucoup aimé Ron, qui va par la suite devenir le meilleur ami de Harry, mais j'ai trouvé qu'il reste très transparent dans l'histoire alors qu'il est très important. Hermione n'est pas trop attachante dans le premier tome, c'est vrai que son air de madame Je-sais-tout agace vraiment. L'écriture de J.K. Rowling est bien, une écriture toute simple avec laquelle on ne se prend pas la tête. J'attribue un 3/5 à ce livre à cause de ces choses que je n'ai pas aimées, mais ça ne m'empêche pas d'être une vraie fan d'Harry Potter !
Cette chronique est à présent terminée, j'espère que vous l'avez aimée ! Coucou les petits éléphants ! Aujourd'hui, le coin voyage en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale... Il s'agit bien sûr du livre La Voleuse de livres de Markus Zusak, un livre qui m'a plutôt bouleversée ! Résumé Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenue. Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s'est arrêtée. Est-ce son destin d'orpheline dans l'Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt ? Ou sa force extraordinaire face aux événements ? À moins que ce ne soit son secret... Celui qui l'a aidée à survivre et a même inspiré à la Mort ce joli surnom : la Voleuse de livres... Mon avis Pour passer vite fait sur la couverture, je trouve qu'elle illustre vraiment bien le thème du livre. La tenue du personnage représenté qui est sans aucun doute Liesel Meminger la représente telle qu'on l'a décrite dans le livre. Quelqu'un m'achète ses chaussures et sa robe ? Comme je l'ai dit dans l'introduction, l'histoire m'a un peu bouleversée. Quand on y repense il ne se passe rien de spécial dedans, ce que je déteste en principe, mais là j'ai été tenue en haleine, l'histoire est vraiment addictive. Ce livre est intéressant du point de vue où on découvre ce que les gens ressentent en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale qui était un des pays ennemis à cette époque ne l'oublions pas, comme pendant les bombardements de leurs ennemis (donc nous les Alliés) ou encore les Jeunesses hitlériennes. Ce que j'ai beaucoup aimé dans l'histoire, c'est que le point de vue choisi par l'auteur est celui de la Mort. Si la Mort est considérée comme quelqu'un de sombre, elle arrive à nous toucher à travers sa description. Et puis la fin de l'histoire, elle est tellement triste ! Tellement que j'ai mis un petit temps avant de m'en remettre. Les personnages sont autant attachants les uns que les autres. Il y a donc Liesel Meminger, le personnage principal auquel on s'attache énormément. Elle est très sensible mais à la fois très courageuse, et ce contraste fait que je l'ai beaucoup aimée. Rudy Steiner est le meilleur ami de Liesel, c'est un personnage qui rajoute de l'humour au livre mais qui est un peu lourd sur les bords par moments. Rosa Hubermann est la mère adoptive de Liesel, et on peu dire qu'elle me ressemble énormément du côté où je râle tout le temps bah quoi ? Il faut bien que quelqu'un le fasse ! et où certains mots sortent tout seuls, comme elle qui dit tout le temps "saukerl" ou encore "saumensch" (je ne sais plus la traduction exacte, mais il me semble que ce sont des insultes "à base" de cochon). Il n'y a pas de mère sans père, je vais donc vous parler un peu de Hans Hubermann, le père adoptif de Liesel et donc le mari de Rosa. Je ne me suis pas spécialement attaché à lui parce que je l'ai trouvé un peu transparent, c'est un personnage important dans l'histoire mais je l'ai trouvé un peu "mou" si on peut le dire comme ça. Comme d'habitude, je vais finir cette chronique par l'écriture. Je l'ai beaucoup aimée, la lecture est très agréable. Comme je l'ai dit pour l'histoire, adopter le point de vue de la Mort est une très bonne idée. Je mets donc un 4.5/5 à ce livre parce que, même si ça se lit tout seul, il est quand même relativement long...
Voilà voilà, j'espère que cette chronique vous aura plu et n'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire si vous avez lu ce livre ! |
Cette catégorie est entretenue par Bérénice, et plus rarement par Sibylle et Ines.
Nous vous y donnons notre avis sur les livres que nous avons lus.
Mars 2017
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