Coucou les néléphants ! Aujourd'hui je vous retrouve encore pour un livre d'école et encore pour un livre autobiographique, donc sachez que je ne me serais jamais retournée de moi-même vers ce livre. Résumé Avec une tendresse et une complicité nostalgiques, Daniel Picouly dresse le portrait d'un gosse, dans une banlieue parisienne des années 1950. Pour ce dernier, tout est prétexte à émerveillement. C'est d'abord un père chaudronnier à qui il prête une vie secrète ; c'est aussi le regard curieux qu'il porte sur une mère omniprésente et une douzaine de frères et de sœurs. Mais c'est surtout, au bout de la rue, entre un mur et un pan de ronces, un endroit anodin que la naïveté de l'enfance rend magique : le champ de personne... MON AVIS Bon, qu'on se mette d'accord : la couverture est vraiment très étrange. Je suis incapable de dire qui est le "gros" personnage, parce que le père est africain mais le personnage du dessin porte un collier, la mère est d'origine française et donc ce n'est pas la bonne couleur de peau, et le personnage principal est métis et encore une fois le personnage dessiné porte un collier... Si vous avez lu ce livre, j'aimerais bien savoir quel est ce personnage pour vous ! Ce livre me faisait plutôt peur (par rapport à la couverture et au résumé), mais finalement j'ai bien aimé. Pour vous expliquer, le personnage raconte une seule journée de sa vie mais comme un souvenir lui en rappelle un autre, puis encore un autre, et parfois encore un autre, c'est assez difficile à comprendre (la plupart des personnes de ma classe ne l'ont pas compris, c'est pour ça que je le dis). Du coup ça m'est arrivée d'oublier quel moment de la journée on était en était, donc on peut dire que l'histoire partait vraiment en cacahuète parfois. Mais les anecdotes que l'auteur raconte sont à la fois intéressantes mais aussi assez drôles (un peu comme Métaphysique des tubes d'Amélie Nothomb), ce qui, je pense, a pas mal joué sur le fait que j'ai aimé ce livre. En y repensant, je ne me suis pas trop attachée aux personnages. Ce n'est pas que le personnage principal (Daniel Picouly puisque c'est une autobiographie) m'a agacée, mais je ne m'y suis pas attachée pour une raison que je ne connais pas moi-même. bah tu vas aller loin comme ça Bérénice... Après c'est vrai que j'ai bien aimé comment il parlait de sa mère, en détaillant les "mimiques" qu'ont toutes les mamans envers leurs enfants. Pour le père, je ne vous cache pas que par moment je ne comprenais pas ce que l'auteur racontait à son propos... Bon, je vous fait grâce des 12 frères et sœurs de Daniel Picouly, d'ailleurs j'ai retenu que 4 noms sur 12 (je ne me souviens même plus si on les cite tous à un moment). Le livre était bien écrit contrairement ce à quoi je m'attendais ! Rien d'exceptionnel non plus, mais juste l'écriture simple que j'aime et qui est facile à lire (pas comme 2010 : l'odyssée deux de Arthur C. Clarke...). J'attribue la note de 3.5/5 à ce livre. Pourquoi j'ai enlevé des points ? J'ai déjà enlevé un demi-point pour la couverture qui n'est pas du tout attirante, un autre demi-point parce que l'histoire partait trop en cacahuète par moment, et le dernier demi-point que j'ai retiré c'est parce que je ne me suis pas spécialement attachée aux personnages.
Cette chronique est maintenant terminée, maintenant à vos claviers si vous avez lu ce livre ou bien si cet article vous a donné envie de lire ce livre ! Bérénice
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Mars 2017
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