Coucou les éléphanteaux ! Aujourd'hui je vous retrouve pour chroniquer un roman que je devais lire pour le lycée, Bel-Ami. Résumé Séducteur sans fortune ni scrupule, Georges Duroy, dit Bel-Ami, use de son charme auprès des femmes pour se faire une place parmi les magnats de la presse et dans les cercles influents du pouvoir parisien. À travers le portrait de ce personnage ambitieux et arriviste, Maupassant dresse un tableau satirique et sans concession de la société française à la fin du XIXe siècle. Mon avis • Tout d'abord, la couverture. C'est une couverture des éditions scolaires, type de couvertures que je n'aime pas du tout. On reconnaît Bel-Ami au premier plan mais je ne saurais pas donner de noms aux personnages en second plan. • À ma grande surprise, j'ai bien aimé l'histoire. On suit la montée en classe sociale de Georges Duroy, surnommé Bel-Ami. Il n'y a pas vraiment de but comme on trouve dans les livres fantastiques (par exemple, Harry Potter > se débarrasser de Voldemort), ici le but c'était simplement le fait de vouloir monter en classe sociale, mais ça m'a quand même plu, je ne me suis pas ennuyée pendant ma lecture. Même si j'ai apprécié de le lire, j'étais tout le temps coupée par le nombre affolant d'astérisques. Je suis d'accord que c'est pratique quand il y a des mots du XIXe siècle que l'on utilise plus, mais donner la définition d'un mot une seule fois suffisait plutôt que de le rabâcher dès que ce mot apparaissait à nouveau (par exemple, le mot "feuille" qui désigne un journal a été répété je ne sais combien de fois et avait une astérisque à chaque fois). Mais bref, j'ai quand même bien aimé ce livre. • Georges Duroy, le personnage principal, est très loin d'être un personnage attachant. Ce n'est pas quelqu'un de sympathique, c'est quelqu'un d'assez froid et qui n'agit que par intérêt. De même avec les femmes, c'est quelqu'un de méprisable qui ne se marie que pour toucher l'argent des dames de haute société afin d'atteindre son but (le gars se tape 3 femmes dans 1 seul chapitre, je dis ça je dis rien). • Je ne peux pas trop juger l'écriture, puisque c'est l'écriture du XIXe siècle. Même si l'auteur n'y est pour rien, et comme je l'ai dit plus haut, ça entraine beaucoup d'astérisques qui coupent dans la lecture. Et je donne la note de 3.5/5 à ce roman. Bon, puisque c'est un classique, je ne sais pas trop comment me positionner pour le noter et encore moins pour le juger, d'où le fait que ma chronique est un peu brouillon, donc je m'en excuse.
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Mars 2017
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